► Prénom : Aoro
 
► Surnom : Ao
 
► Sexe :  ♂
 
► Âge : 2 ans
 
► Code du règlement des compagnons : Petit chaton tout mignon

► Caractère (2 lignes minimum) :  Un caractère proche de celui de sa maîtresse. Et tant mieux d'ailleurs, parce que si ils n'étaient pas identiques, l'un aurait déjà bouffé l'autre. Aoro est d'un naturel protecteur, à la limite de l'agressif. Il partage le goût pour les emmerdes avec Tsume, et fait preuve d'un intelligence remarquable, même pour un compagnon. Le jeune loup est aussi très joueur, même si des fois il est chiant, prenons exemple lorsque Tsume fait ses devoirs ( lol ) il arrive pas à s'empêcher de devoir se rouler sur les feuilles.


► Description physique (3 lignes minimum) :  Aoro se rapproche plus d'un husky sur le plan physique, bien qu'il soit plus racé que le chien. Aoro on le reconnaît, et bien, parce que je sais pas vous, mais moi je croise pas souvent un loup mesurant plus d'un mètre cinquante au garrot. Il arrive donc aux hanches de la Wolve, son museau pouvant très facilement se retrouver sur son nombril. Des pattes longues, puissantes, et un pelage blanc couvrant son ventre, ses pattes et son col. Les reste de son corps et gris, tâché de nuances de noir, ce qui diffère du pelage entièrement noir de sa maîtresse. Seule particuliarité, ses yeux. Deux yeux aussi froid et tranchant que la glace.


► Histoire (4 lignes minimum) : L'histoire d'Aoro est assez différente. C'est pas souvent qu'on croise un loup au centre ville, c'est vrai.

   Alors tout commence un matin d'hiver. Ses pattes gelées, gelée et ouvertes, son corps si maigre que ses côtes transpercent sa fourrure, et la langue pendante, comme si il souffrait de la chaleur alors qu'en réalité, il souffre uniquement à cause des morceaux de verres dans son flanc, à cause des pierres qu'on lui à jeté.  Ce loup à alors un an, il est perdu en ville, il est traité, maltraité, blessé, heurté. Il s'effondre alors au sol, dans la neige, contre son manteaux blanc, promettant qu'à son réveil, il n'aurait plus jamais connaissance de la douleur et de la misère humaine.

 Puis, fantôme parmi les flocons, cheveux d'ébène et yeux de nuit, une jeune fille s'effondre elle aussi, sa peau blanche s'humidifiant à cause de la neige fondant au contact de la chaleur s’estompant à cause de son corps. Et ce pâle battement de coeur, ce sang qui afflux dans ses oreilles, qui bat dans son corps. La jeune fille, blessée, heurtée, brisée, vagabondant depuis des jours seule, dans le noir de la ville enneigée, dans le froid de la ville figée. Cette jeune femme, trop avide d’exister, mais trop triste pour résister. Alors elle ouvrit ses yeux, deux puits sombre, et elle à tendu la main.

  Un an après, le loup et la femme louve étaient toujours ensemble, dans une relation qui frôlerait l'irrationnel, dans un échange fraternel.
« Je te sauverais encore et encore si je le devais. Parce que tu es le plus beau cadeau que la neige m'ai donné. »