Orinoco Tucker Schizophrène
profil Messages : 10 Date d'inscription : 13/11/2013 PersonnageAge: 15 ansPouvoir: Agilité surdéveloppéeRace précise: Wolve
| Sujet: Jack Williams - Le gentil blond Lun 9 Juin 2014 - 10:55 | | « La souffrance je la connait bien. Je n'ai pas été anesthésié » « FICHE D'IDENTITEY » ♦♦ NOM :: Williams ♦♦ PRÉNOM :: Jack ♦♦ SURNOM :: Willi, Jackouille, Cyclope ♦♦ AGE :: 17 ♦♦ SEXE :: 22cm ♦♦ CLASSE / PROFESSION :: Terminale n’importe laquelle c’est entre peu et pas important ♦♦ RACE :: Wolve ( Ça change d’habitude. ) ♦♦ POUVOIR :: Torve-Esprit : Capacité à faire halluciner les gens en modifiant leur perception de la réalité. Matérialiser des ombres sous forme de spectres qu’il contrôle directement.
« DERRIERE L'ORDI » ♦♦ PRÉNOM / SURNOM :: Al-dw-in Dévoreur, Destructeur, Maître. Inclinez vous devant moi. ♦♦ AGE :: Presque 16, mais pas toutafé. ♦♦ OU AS-TU CONNU LE FOW ? :: C’est une pantoufle qui m’a tout dit, sisi, croyez moi. ♦♦ DES COMMENTAIRES ? :: Sous l’océannnnn ♦♦ CODES DES RÈGLEMENTS :: Telkah approuve ces codes :I ♦♦ FEAT[Personnalité de l'avatar - Facultative] :: Dio – Mad Father
« POURQUOI TOUT LE MONDE M'ADORE » Jack est très souvent dans un coin à vous observer de son seul œil valide, il n’aime pas les gens, il n’aime pas qu’on lui parle, on peut dire qu’il est taciturne, à la limite de l’agoraphobie. Derrière cet air de garçon dur et distant se cache un cœur tendre, on peut le qualifier de froid à première vue, mais on se rend compte qu’il est tout gentil quand on apprend à le connaître, à outrepasser la coquille qu’il s’efforce de dresser autour de lui. Il ne se jettera pas sur les gens pour les agresser à cause de leur couleur de chaussettes, il évitera même les conflits. Vous aurez beau insulter sa mère de gouffre à lampadaires, il restera indifférent. On peut même dire qu’il ne renverra pas les coups, il déteste se battre, il préfère manipuler ses adversaires, les rendre fous, comme lui a souffert physiquement, il se limitera à détruire votre esprit. Il n’hésitera pas à aider les gens qui le méritent, à aider une mamie à traverser, porter des sacs de courses jusqu’à la voiture d’une autre dame âgée, punir les mauvais conducteurs avec une vision d’horreur, leur foutre la frayeur de leur vie. Son objectif n’est que de rendre le monde autour de lui meilleur, mais c’est souvent en cherchant à faire le bien qu’on créer le plus de mal autour de soi. Un seul détail est susceptible de l’énerver, c’est de faire une fixette sur son œil manquant, c’est juste un œil, ce n’est pas comme si c’était un bras. Il en a un autre et peut voir avec, il veut être considéré comme les autres, ni avantagé ni assisté, laissez le vivre comme les autres bons sangs ! On sent aussi chez lui un accent très prononcé provenant de l’Amérique, il parle bien le français mais commet des erreurs communes sur la prononciation de certains mots. Qu’elle idée d’avoir une langue aussi compliquée ? !
« POURQUOI MON MIROIR M'AIME » Si vous êtes une personne normale qui regarde les gens dans les yeux, le premier détail qui vous frappe lorsque vous le voyez c’est sans doute son bandage à l’œil droit, en effet il lui manque un œil. Il cache son orbite désormais vide avec quelques bandages, ceux-ci se dissimulent sous ses cheveux pour rendre le résultat pas trop dérangeant ni trop visible. On remarque de temps à autre une petite tache de sang dessus, comme un cycle menstruel de l’œil. Une fois le problème de l’œil écarté, vous vous rendrez compte qu’il a l’œil jaune-vert, une couleur très attrayante, on se perdrait rien que dans son regard. Tout cela est réhaussé par des cheveux mi-longs lui arrivant jusqu’à la nuque à l’arrière et jusqu’au nez à l’avant. Il a souvent un petit sourire, même s’il souffre, même s’il pleut et qu’il est trempé, il préfère garder ce petit rictus en coin que de vilaines et moches grimaces. Sur un plan plus général, Jack mesure le mètre quatre-vingt-cinq, donc juste au-dessus de la moyenne. Il prend soin de lui, il met souvent un petit peu de parfum pour rehausser son côté raffiné, certains diront que c’est efféminé, mais c’est juste des jaloux. Il est musclé comme il faut, on voit qu’il ne fait pas du sport en permanence, il ne désire pas ressembler à ces bodybuilders remplis de stéroïdes, il s’en tient à un peu de natation et de musculation. Il porte aussi les caractéristiques type d’un wolve, une queue de loup, des oreilles de loup, des crocs acérés, un flair amélioré, mais c’est pas très visible ça.
« COMMENT JE SUIS DEVENU(E) TROP CLASSE » Jack était issu d’une petite famille modeste d’Amérique, à Miami. Dans cette ville, « modeste » veut dire relativement pétée de thune par rapport au reste du monde. On peut aisément dire qu’ils vivaient dans le luxe et l’opulence, une maison en bord de mer, une piscine et un terrain de badminton personnel, son père était PDG dans une entreprise, sa mère passait son temps à la maison, qu’est-ce qu’elle devait s’ennuyer celle-là.. Son mari refusait de faire sortir son fils, tous ses cours étaient pris par correspondance, il ne voulait même pas de professeur dans sa maison, tout se faisait par ordinateur, il n’y avait même pas de contact visuel. Un simple micro et des écouteurs pour source d’enseignement. Il était considéré comme la honte de la famille, le seul et unique fils, la tare à cacher à tout prix. Sa mère l’aimait bien sûr, mais pas comme elle aurait aimé un être normal, un enfant sans cette queue et ces oreilles de loup, sans ses dents acérées. Alors, la vie de tout le monde était longue et ennuyeuse, il soupçonnait même ses voisins de ne pas savoir qu’il existait. Quand il ne dormait pas, il mangeait, jouait à la console ou à l’ordinateur ou apprenait des trucs qu’il pensait inutile à sa vie. Son quotidien n’était pas agréable, mais il n’était pas si mal en fait, il avait accès à des fonds suffisant pour ne pas s’ennuyer en permanence, mais tout chavira un jour. Le jour où son père perdit son boulot, son entreprise s’était faite rachetée, et lui mit dehors. Ils avaient beaucoup d’économies, assez pour terminer leur vie de l’oisiveté la plus totale, mais il fallait bien trouver un coupable à toute cette histoire. Au début, c’était sa mère qui prenait les coups, mais il s’interposa pour la protéger. Il s’interposa comme jamais il l’avait fait, habitué à se taire et hocher la tête quand on lui faisait des reproches. Sa mère saignait de la lèvre, elle avait peut-être même une ou deux dents cassées. Mais il y avait Jack entre elle et son père, une masse de soixante kilos pour en contrer une de cent vingt, autant dire qu’il ne fallut que peu de temps au mastodonte graisseux pour maîtriser son fils, sa monstruosité. Mais cette rébellion ne resterait pas impunie, il saisit le premier ustensile qui lui passa sous la main, c’était une fourchette et le planta dans l’œil de Jack. Les voisins ayant entendu la dispute avaient déjà appelés les policiers ainsi que les urgences, par prévention. C’est ce petit appel qui sauva la vie de Jack et sa mère.
A l’hôpital, on dû lui couper l’œil droit, enfin, sectionner le petit filament qui retenait l’organe pendouillant contre sa joue. Il aurait perdu la moitié de sa vue, mais ce n’était pas la totalité. On voulut lui mettre une prothèse pour lui donner un air plus humain, mais il refusa toute opération. Alors on lui montra comment s’occuper du trou qui occupait son visage et comment le bander avec précaution.
Dernière édition par Orinoco Tucker le Lun 9 Juin 2014 - 11:13, édité 4 fois |
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