Personnage

♦ Nom :Rainsworth

♦ Prénom :Megurine

♦ Surnom : Megu/Meg

♦ Race : Tigresse

♦ Classe : Première Zêta


♦ Sexe : Féminin

♦ Rang :Eleve

♦ Age : 17 ans

♦ Pouvoir :Pouvoirs-des-cheveux-qui-bougent-tous-seuls. Je crois que le nom du pouvoir dit tout, elle contrôle ses cheveux et peux les faire bouger grâce à sa pensée...

♦ Caractère (3 lignes minimum) :
Megurine a un caractère...bien à elle, elle est assez spéciale en fait,un coup c'est votre meilleure amie et de l'autre votre pire ennemie, il lui suffit d'une petite réflexion pour qu'elle péte un cable, elleest très impulsive, mais elle ne vous infligera jamais de graves séquelles car elle en est absolument incapable, elle est incapable de faire du mal à quelqu'un, elle est bien trop fragile pour ça, par contre ellle peux quand même vous faire très mal, sinon ce sera une bonne amie, très protectrice envers vous, elle sera prête à faire tous les sacrifices pour vous, elle est plus proche des garçons que des filles, les garçon c'est plus son truc, pas pour les draguer mais niveaux goût/passions, elle s'entend mieux avec eux.. Elle joue de la guitare et a une voix d'ange

♦ Description physique (4 Lignes Minimum):
Megurine est une jolie fille, elle a de longs cheveux bleus lui allant plus bas que la taille et souvent attachés en couettes, dans ces longs cheveux bleus se trouvent quelques petites méches violettes qu'elle a faites sur un coup de tête et qui ne partent plus,elle a un petit nez très fin, de longs cils d'un noir éclatant, récourbés vers l'avant. Des yeux d'un bleu lui aussi éclatant, ses yeux sont comme les mers des Caraïbes, sans aucune algues verte, un paysage bleu, on se noirait dedans. Niveau vestimentaire, elle s'habille uniquement avec des vêtements bleus, ou des variantes ou encore avec du violet mais pas autre chose, bleu c'est sa couleur fétiche, elle est née comme ça, enfin bref, elle aime beaucoup les robes, pas les longues robes qui volent quand elle tourne du genre flamenco, non des petites robes toutes simple qui lui colle au corps, à son petit corps mince et fin et avec une jolie poitrine bien qu'assez petite...Caché sous sa robe ou son pantalon, elle a toujours une petite dague, attachée à sa jambe, une petite dague en or avec un petit rubis rouge sang sur le milieu du manche

♦ Histoire (7 Lignes Minimum) :

[center]La vie de Megurine bascula ce jour là, qu'avait-t-elle fait pour mériter ça, esqu'elle avait été méchante,avait-t-elle fait une bêtise que l'on devait punir de cette façon, surtout pour une petite fille, qu'avait-t-elle fait comme bêtise pour mériter cette punition, être enlevé de ses parents, se faire embarquer dans une camionette, se débattre pour que les gens qui vous ont enlevés vous lâchent, des gens habillés en noirs, avec des accents italiens,voir ses parents courir dérriére la fourgonette dans laquelle on vous a embarqués, pleurer,pleurer toutes les larmes de son corps et regarder ses parents continuer de courir,puis, les voir tomber, tous les deux, d'un coup, tout ce que vous avez entendu se résume en un seul son :" Pan...", continuer de s'éloigner,voir ses parents qui ne bougent plus, puis passer d'un extréme tristesse a une colére des plus noires, essayer de se débattre puis se faire électrocuter par dérriére, quand elle se réveilla, elle ne se souvenait plus de rien, elle avait dormi plusieurs semaines, les gens qui l'avaient enlevés étaient partis, il n'y avait qu'un dame à côté de son lit, une dame brune, avec de longs cheveux lui allant au milieu du dos, elle avait de longs yeux marrons, elle était seule, elle lui souriait, un sourire profond,Megurine sortit :" Maman ?" la femme était sa tante, voyant qu'elle avait perdue la mémoire, elle ne voulait pas lui infliger une nouvelle épreuve en lui disant la véritée, alors elle répondit oui,elles ne se ressemblaient pas du tout, mais quelle importance ça avait ? Avant de mourrir, la tante de Megurine l'inscrit dans un internat,internat ou elle devrait être heureuse..., le jour ou elle mourut, Megurine alla tout de suite dans cet internat, cet internat bizarre, peut-être s'y plairait-t-elle, finalement ?