Prénom : Finn
Nom : Mickealson
Race : Raion
Race précise : Lyer
Sexe : ♂
Age : 17 ans
Pouvoir : Modification des goûts/pensées/souvenirs
Orientation : Bisexuel
Histoire : Finn a eu une enfance dure, déjà tout petit, ses parents voulaient en faire quelqu’un dont ils seraient fiers, et quand ils apprirent qu’il était différent, c’était un animalik, ils décidèrent tout simplement de l’envoyer dans une école militaire. Ils ne savaient pas que cela lui forgerait un comportement de solitaire. Mais ne savant que faire d’autre, ils n’avaient pas d’autre solution. Enfin bon, autant dire qu’ils n’avaient pas cherchés ! Donc Finn partie dans une école militaire à l’âge de 7 ans. Il passa presque toute sa vie là-bas, et se forgea un physique hors-norme. Il rencontra plusieurs enfants, avec qui il devient vite ami. Seulement, Finn se sentait seul, seul d’être différent dans ce monde. Un jour, quand il se leva un beau matin, il s’aperçut que tout le monde était déjà dehors. Il se dépêcha mais quand il arriva, il se fit remonter les bretelles par le général. A ce moment là, il ressentie comme de la tristesse, se demandant pourquoi ses amis ne l’avaient pas prévenus, et quand il vu qu’ils se moquaient de lui, il se jura de ne plus jamais faire confiance à des êtres dont il ne connait pas le caractère. Les années filèrent comme la poussière qui s’accumule sur un meuble, et le lendemain de ses 16 ans, ses parents lui envoyèrent un article trouvé sur le net. Un internat, accueillait les personnes comme lui, différentes. Le lendemain il y fut transféré, et espéra de tout cœur qu’il n’allait pas faire les mêmes erreurs que les années précédentes.

Finn est quelqu'un de plutôt solitaire, il reste distant avec vous tant qu'il ne vous connait pas assez pour vous faire confiance. Il n'est pas très bavard, ce qui n'arrange pas les choses, sachant qu'il n'apprécie pas tellement les moulins à paroles qui font devenir son crâne, bombe atomique. Mais il peut être quelqu’un de très gentil, et aimable quand on le connait bien, même si les aspects extérieurs font penser à une sorte de garçon qui ne respecte rien, un peu comme un délinquant. Il n’oublie pas quand on le blesse, ou quand on lui fait de mauvais coup. L’inconvénient est qu’il les rend souvent, et les accentue. Enfin bon, tant que vous ne lui faites rien de mal, tout ira pour le mieux. Quand Finn offre son cœur à quelqu’un, ce qui est très rare, il n’aime pas qu’on le rejette comme si il n’était rien, et peux facilement s’énerver dans ses cas là. Il a le sang chaud, et n’hésite pas à vous dire ce qu’il a à vous dire en face. Il est franche mais tout simplement adorable avec les personnes qu’il apprécie. Il aime bien les gens qui sortent du lot, qui osent s'affirmer et ne laisse personne leur marcher sur les pieds. En bref, il a son caractère à lui.

Prénom : Thibault
Nom : Pettyfer
Race : Ryuu
Race précise : Dragoon
Sexe : ♂
Age : 19 ans
Pouvoir : Clonage
Orientation : Hétérosexuel o/
Histoire : Je suis né dans une grande maison luxueuse. Avec piscine, jaccuzzi, veranda et puis tout le tralala des bourgeois et des nobles. En fait je suis pas issu d’une lignée. Loin de là. C’est juste que mon père a gagné des millions à la mort de ses parents et ma mère.. Des milliards. Et puis depuis des années c’est comme ça. De génération en génération on gagne des milliards. Sauf que moi. Pour tout dire. Ca me plaisait pas trop de vivre dans une baraque énorme. J’en ai même fais des cauchemars des fois. M’enfin bref. J’ai donc eu une enfance plutôt heureuse. Pour ne pas vous mentir, j’avais tout ce que je demandais. Je me rappelle même d’une fois où je voulais avoir un cirque comme à la télé dans le jardin. Le lendemain, le chapiteau était installé. Mais malgré tout ça, je n’en restais pas moins un enfant. Et arrivé le jour de mes 16 ans. J’ai fugué. Bon. Je suis revenu 3 jours plus tard parce que la police m’avait trouvé. Pff. Après ça mes parents décidèrent de m’émanciper. Autrement dit. A 16 ans j’étais considéré comme majeur. Ils m’achetèrent des apparts un peu partout dans le monde. Et puis après des maisons. Bref. Y a mon nom écrit sur les boîtes aux lettres partout. Mais vu que je n’y vais pas souvent. Je les fais louer. Et puis le dernier appart qu’ils ont acheté avant de décéder et de me léguer leur richesse est près de l’Internat. Alors j’ai osé y mettre les pieds. Et maintenant je suis ici, livré à moi-même.

Pourquoi tout le monde m'adore ? Ben parce que je suis génial voyons ! Je suis friqué, plutôt pas mal foutu, j’ai une grande maison, une belle voiture et je suis parfait –ou pas-. Nan en vrai pour tout dire, j’ai beau avoir tout ça, ça fait pas mon bonheur. Je suis sortie qu’avec une seule fille. Chui difficile à convaincre et je ne file pas ma confiance à n’importe qui. Mais après je suis quelqu’un de gentil hein. Je suis toujours là pour les autres, quoiqu’il puisse leur arriver je les soutiendrai toujours toujours toujoooours. Je suis têtu. Mais ça ne veut pas dire que je ne suis pas influençable. Je suis généreux. Et ouai. Ca va faire maintenant 2 ans que je donne aux Restos du Cœur et aux Sans Abris. Et puis je suis compréhensible et assez romantique. Voire trop romantique des fois. Les dîners aux chandelles et tout le tralalala. Ouai je ne rigole pas. Quand je suis amoureux c’est pas genre.. amoureux. C’est.. AMOUREUX. Je pense pas que tu as compris la nuance mais c’est pas grave ! J’aime être entouré. Et parfois je préfère la solitude. Je suis plutôt quelqu’un qui sourit à la vie. C’est une image. La vie n’est pas quelque chose qu’on peut toucher. La vie c’est un tout. Non je ne suis pas philosophe. A mes heures perdues, je joue de la gratte (de la guitare) ou de la batterie selon mon humeur. Ah oui. Je suis plutôt quelqu’un de jaloux quand j’ai une copine. Disons que le dernier mec qui s’est approché de ma copine un peu trop près je lui ai pété la figure. Pour ne pas dire gueule.

Prénom : Brooke
Nom : Waters
Race : Nezumi
Race précise : Maki
Sexe : ♀
Age : 18 ans
Pouvoir : Absorption d'énergie
Orientation : Hétérosexuelle o/
Histoire : Donc. Pour débuter. On va faire simple. Je suis née en Ecosse, trois ans après ma sœur et deux ans avant mon petit frère. Vous l’aurez compris, je suis la cadette d’une famille écossaise. Tout cela étant dis je tenais à vous, avant de vous raconter avec ennui ma vie, que je suis issue d’une classe moyenne et que malgré le fait que nous ne soyons ni des friqués ni des personnes en difficulté, on a eu notre lots de problème. Tout d’abord, ma sœur est atteinte de la maladie d’Asperger, si vous savez pas ce que c’est je vous offre le lien Wikipédia. Quelle gentille fille je suis –meurt-. LA MALADIE DE MA SOEUR. Bref. Du coup elle était très maladroite dans son relationnel et est devenue « une professionnelle ». Cela dit elle gagne bien sa vie hein. Mais bon. Elle n’a jamais osé faire d’études et a du se réfugier là-dedans. Et il y a un an pas plus, elle a attrapé le VIH parce qu’un de ses fichus « clients » a oublié de se protéger. Bref. Chouette pour elle hein ? Du coup je ne sais pas combien de temps il lui reste à vivre mais en tout cas… Pas grand chose surement. Bref, ensuite y a mon frère qui a eu un accident avec mon père quand j’ai eu 16 ans, il en avait donc 14. En fait ils étaient en panne sur la bande d’arrêt d’urgence et un bourré leur a foncé dedans à plus de 100km/h. Mon frère est mort sur le coup. Mon père est tombé dans le coma. La joie quoi. Et puis après y a ma mère, alors elle franchement… Elle a perdu la moitié de sa famille parce qu’un des voisin de ses parents étaient complètement tarré et a décidé de détruire toute sa famille. Super ! Et enfin y a moi.. Entre le racket à l’école du quartier et entre mon lycée dans un trou pommé où je me faisais harceler chui pas mieux. Bref vous l’aurez compris, j’ai pas eu une enfance trop trop facile bien que je n’ai pas eue tant de problèmes que ça… Et même maintenant j’ai du mal à faire une croix sur mon passé. Et disons que j’ai voulais changer d’air en quelque sorte. Et c’est en surfant sur la toile que j’ai trouvé pas mal d’endroits cool. Et l’un des endroits qui m’a plus plus ben.. C’est ici, au environ des internats avec des gens comme moi. Au fait j’en ai pas trop trop parlé non plus mais si je me faisais harceler et racketter c’était en grande partie pour ma différence.

Pourquoi tout le monde m'adore ? C’quoi ce titre prétentieux ? Nan nan moi chui pas prétentieuse hein. Fin.. Peut-être un peu. Quoi qu’il en soit, je me présente grosso modo. Chui chiante, autant se l’avouer hein, en fait chui plus têtue que chiante. Chui compliquée et beaucoup investie dans ce que je fais. J’aime pas me retrouver dans des quiproquos alors je fais souvent au plus simple. Donc pour le coup je suis assez franche. Je passe mon temps à me comparer aux autres en me rabaissant. Forcément, si on se met en valeur c’pas marrant. Mais malgré tout ça chui pas dépressive hein ! Loin de là même. Je suis plutôt du genre optimiste et à etre un peu.. Beaucoup rêveuse. Cela ne correspond pas trop trop avec ma franchise mais tant pis. Je ne suis pas parfaite et je suis fière de mon imperfection. Je passe mon temps à dessiner, peindre ou regarder le ciel. En même temps j’ai que ça à foutre. Je suis plutôt sérieuse et assez fidèle. Je suis pas du genre à mettre des couteaux dans le dos aux gens. Enfin bref. Sinon j’aime juste trois couleurs, le blanc, le beige, et la couleur lavande. Et la couleur taupe. Ca fait quatre.. Bref j’aime quatre couleurs. Je suis incapable de faire des choix au fait ! Mais genre incapable. Fin tu me demandes « entre crumble aux pommes ou crumble au poires » je prends les deux hein.. Fin incapable de faire des choix sauf quand je suis obligée d’en faire un.. Bref. Je suis juste moi quoi ~

Prénom : Nadeca
Nom : Brigaen
Race : Inu
Race précise : Wolve
Sexe : ♀
Age : 18 ans
Pouvoir : Capacité de traverser les objets. -eh ouai-
Orientation : Uh. Je sais pas moi.
Histoire : Avant de commencer, je tiens à dire que j’ai mis plus de 7 ans à comprendre ma propre histoire. En même temps si on me cache des choses je risquais pas d’y arriver..
Je suis née dans un hôpital de banlieue qui longeait un petit fleuve tranquille. De dehors tout était paisible, mais si on écoute mes parents, c’était la panique dans l’hôpital. Pourtant il n’y avait pas de raison. Il y a des centaines voire même des milliers d’enfants qui naissent tout les jours alors pourquoi quand moi je nais il faut que cela soit le bordel intersidéral hein ? Enfin bon. Depuis mon plus jeune âge mes parents m’ont initié à la musique. Quand j’étais petite ils préféraient mettre leurs musiques favorites plutôt que celles pour enfants, que tous les gosses du monde répètent en boucle à longueur de journée et inventent même des chorégraphies grotesques censées être « super méga trop stylées ». Ah ma petite jeunesse. Courte mais belle. C’est bien la seule partie de ma vie qui est heureuse. Après il y a eu beaucoup de moments de bonheur sûrement. Mais ils ne restent pas gravés dans ma tête, je ne retiens que le pire. Une matinée, à la veille de mes 8 ans, j’ai été réveillée par des cris et des hurlements qui faisaient trembler la maison. Au début j’ai simplement cru que ma mère avait vu un rat, ils étaient très présents à l’époque et elle en avait une peur bleue, mais ensuite, en écoutant avec mes jeunes et vives oreilles, j’ai compris que ce n’était pas un rat. Elle conversait avec des hommes. Je dis des car pour moi il y en avait plusieurs. Je crois me rappeler qu’à ce moment j’ai été prise de panique car il me semble que je me suis rappelée que ma mère m’avait avisé que des hommes allaient venir me chercher pour m’accompagner à l’aéroport, vers une famille d’accueil car le gouvernement considérait qu’elle et mon père n’étaient plus en état de s’occuper de moi. Je me suis blottie sous mes couettes et j’ai retenu mon souffle en pensant que cela me rendrait invisible. Mauvaise pioche. Mon père est monté dans ma chambre et est venu me prendre dans ses bras. Ah mon papa, si j’avais su que c’était la dernière fois que je te voyais j’aurais sûrement pleuré à chaudes larmes. Il ne m’a rien dit. Seulement « Habille-toi Nadeca ». Juste ça. Et puis plus rien. Silence complet. J’ai enfilé un pantalon avec un sweat, mon sweat préféré : un peu délavé mais qui tient très chaud. Je suis descendue en bas et n’ai pas eu le temps de poser un pied par terre que j’ai vu ma mère sortir de la pièce et me laisser face aux grands costauds qui n’ont pas eu beaucoup de mal à me porter jusqu’à leur voiture. A partir de là l’enfer débuta. Je ne compris pas de suite que j’avais été vendue pour ma différence. Je sais bien que cela peut-être effrayant mais ce n’est qu’en arrivant dans ma nouvelle famille et qu’en passant le cap des 15 ans que j’ai décidé de demander à mes nouveaux parents pourquoi je ne pouvais pas voir mes parents biologiques. La réponse est simple. Je n’étais pas voulu. Et ils m’ont vendu comme on vend de la nourriture. En fait… Mes nouveaux parents ne pouvaient pas avoir d’enfants et ne voulaient pas adopter. Ils ont rencontré mes ignobles parents biologiques lors d’une réception organisée par l’entreprise de mon père et ils ont tout organisé pour que cela ne se sache de personne. Enfin bon. Au lieu d’avoir un cadeau j’ai eu une sœur pour mon anniversaire. Et pas n’importe laquelle. Ma sœur. Ma sœur jumelle. On nous avait séparé à la naissance et elle avait été donné à une famille nombreuse. Elle était plus jolie que moi, Nèsnoma, mais il n’empêche que le jour où on nous a expliqué, notre sang n’a fait qu’un tour et nous avons voulu nous venger. Rejeter ses enfants pour leur différence, n’est-ce pas ignoble ? Parce que s’ils ne nous avaient simplement pas voulu, ils auraient du faire gaffe. Enfin bon. J’ai grandi et terminé ma croissance dans la petite maison de mes parents « adoptifs » pour décider, un an après, que ma place n’était pas avec eux. Je me suis longuement renseignée pour au final trouver un Internat avec des gens comme moi. J’ai traversé la porte d’entrée, une cigarette à la main et mon année a débuté sur un mégot jeté par terre.

Je suis pas vraiment bavarde de nature mais là je vais faire genre un big effort parce qu’il faut que je remplisse dix lignes de caractère et sachant que je pourrais le faire en une ligne en disant qu’il est juste merdique, je vais devoir bien développer. Autrement dit je me tais et je me dépêche maintenant parce que sinon j’aurais pas fini avant de reprendre les cours. Bref. Donc je disais, j’ai un caractère merdique. Pourquoi ? Disons que je suis tout simplement dépressive de ouf. Mais genre pas la dépressive qui voit de temps en temps la vie en noir, nan, moi la vie en noir je la vois tous les jours, du matin au soir. H24. Pourtant ça ne m’empêche pas d’être en vie me direz vous, et vous avez raison. Même si je continue à me faire des cicatrices sous les avant-bras, genre je me scarifie quoi. Bref. Je dis donc, je me scarifie et j’ai beau m’avoir promis d’arrêter ben c’est plus fort que moi. Personnellement je me considère comme une désespérée. Oui. Une désespérée. Qui parle beaucoup mais bon (c’est totalement contradictoire au début je dis que je parle presque pas), au final je parle beaucoup dans ma tête. Je pleure difficilement devant les autres mais quand je craque je veux voir personne. Peut-être trop fière ? J’en sais rien. Fière de quoi après tout ? D’avoir un magnifique passé… Hm hm. Bref. Si je devais me résumer en quelques phrases, ou du moins en l’occurrence quelques mots, je dirais seulement : dépressive, fière, désespérée, suicidaire. Ah voui et au fait. Puisque être dépressive ça suffit pas j’ai commencé à fumer depuis peu. Quel bon exemple je fais…

Prénom : Enoah
Nom : Carling
Race : Human
Race précise : Human ♠
Sexe : ♀
Age : 22 ans
Pouvoir : Aucun.
Orientation : Aucune idée.
Histoire : Mon nom est Enoah. Plutôt pas très banal hein? Je suis bien d'accord avec vous mais il est vrai qu'on ne choisit pas sa famille, pas son nom... Même nos propres amis nous ne les choisissons pas. A l'heure à laquelle je vous parle, je suis dans un état de transe, je ne sais plus quoi faire ni quoi dire. J'ai déjà tout essayé pour me sortir de cette roue infernale dans laquelle je suis rentrée. Si j'avais su qu'à cause de lui j'en serais là je pense que je l'aurais rapidement quitté...

Je suis née un certain dimanche d'août, tant pis pour vos vacances papa et maman. Ma mère est décédée en me mettant au monde, pourquoi? C'est une trop longue histoire. Mon père s'est donc retrouvé avec la garde de sa petite fille, il s'est débrouillé du mieux qu'il pouvait, il m'a donné tout ce qu'il pouvait mais tous les efforts qu'il a faits, bien qu'ils soient remplis de bonnes intentions, n'ont pas suffit à subvenir à nos besoins. Alors il a fait des sacrifices. Je suis diabétique, autrement dit, je dois faire gaffe à ce que je mange et m'injecter des doses d'insuline par jour pour réguler le taux de sucre dans mon sang alors mon père a tout placé dans la médecine pour me soigner. Bien qu'aujourd'hui je lui en suis extrêmement reconnaissante, à l'époque, je préférais qu'il garde son argent pour lui. En bref, j'ai eu une belle enfance passée dans une toute petite maison au fin fond de la cambrousse. Les études ? J'ai tenté de rester au dessus de 15 jusqu'en seconde, après j'ai chuté. Mais j'ai quand même eu mon BAC avec une bonne mention, enfin, avec bien quoi. Comme quoi c'est pas trop dur d'avoir une bonne mention dans ce fichu pays si on bouge un minimum ses fesses. Le BAC en poche je me suis lancée dans l'armée, j'ai fais qu'un seul an dans le service militaire : j'aime pas le sport. Je me suis vite trouvée un copain à la sortie de mon service militaire, j'avais 20 ans passés.. Il s'appelait Fred, mais j'avais l'habitude de l'appeler Freddy. Ouai, mon petit Freddy, eh ben on est pas resté trop trop de temps ensemble parce qu'il m'a apporté de belles grosses emmerdes. Merci Freddy. Je revenais du boulot, quand je dis boulot c'est études -oui parce qu'entre temps j'ai repris les études de biochimiste- parce que mon père devait prendre soin de lui et que je voulais subvenir à mes propres besoins. Du coup, Freddy est venu me chercher devant mon école et puis on a marché jusqu'à la grande société de Monsieur Linh. On a parlé, ri et puis l'ambiance est devenue froide. Il m'a demandé de livrer une mallette pour lui, dont il ne connaissait d'ailleurs pas le contenu, il était pressé, il voulait en finir et comme je refusais, il a fini par m'attacher à la mallette avec une paire de menottes. Le con, sans le vouloir il m'entraînait dans un enfer et lui il mettait fin à sa vie. Je suis donc rentrée dans le grand building et ai fait comme il m'avait dit : demander à parler à Monsieur Linh, se présenter, attendre et... Y aller. Mais ça s'est plus passé comme ça : demander Monsieur Linh, attendre, attendre, attendre et regarder Freddy. Une dizaine d'hommes sont sortis de l'ascenseur. J'avais peur, je m'en rappelle, mais c'était le début de ma souffrance. J'ai regardé Freddy une dernière fois avant de le voir s'étaler contre la vitre, mort : il venait d'être tué. Les hommes se sont saisis de moi, je me débattais comme une pauvre gazelle, les pieds hors du sol je tentais de toucher terre, en vain. Ils m'on amené dans un bureau et m'ont obligé à m'asseoir. La mallette pendant toujours à mon poignet, comme le boulet qui suit les prisonniers. J'ai attendu longuement, j'étais mal, je ne savais pas où j'étais et qui était ce Monsieur... Puis il est enfin sorti, équipé de lunettes transparentes de chimiste tachées de sang et les mains rouges écarlates. Un homme est sorti et a sacrifié de l'eau pour nettoyer les mains de ce monstre. Il a parlé avec l'homme, bien sûr dans une langue qui m'était, à l'époque, incompréhensible. Et puis le téléphone s'est décroché, un traducteur me proposait de traduire mes paroles pour l'homme. Celui-ci m'a demandé mon nom, mon prénom et ce que contenait la mallette. A cette dernière question à laquelle j'ai répondu que je ne savais pas, le vieux asiatique s'est écarté, ses espèces de gardes du corps ont sorti les boucliers anti-émeute et m'ont laissé un papier avant de reculer dans le fond du bureau. Le traducteur m'a annoncé que le papier était le code de la mallette. Le vieil asiat' me faisait pas confiance. J'ai mis du temps avant de réagir alors les gardes du corps ont sorti les armes. Je tremblais en faisant tourner les petites molettes, 1, 4 et puis 0. Un clic s'est fait entendre m'annonçant que j'avais trouvé le code, forcément on me l'a donné. J'ai ouvert la mallette après plusieurs grandes inspirations. Pas de boom, rien, juste trois petits sachets que j'ai du décrire à l'autre fou. Bleus, remplis de petits cristaux, de poudre bleu. Le vieux, soulagé est revenu, toute la garde mise en place s'est calmée et un shooté a fait son entrée. Il a sniffé deux putains de cristaux et a totalement pété un plomb, il a pas fait long feu. Son rire a vite soûlé le vieux fou qui l'a tué d'une balle dans le crâne et puis, Monsieur Linh m'a proposé du travail. J'ai répondu clairement que c'était gentil mais que je refusais son offre. En fait, j'avais pas vraiment le choix, j'ai fini assommé. J'ai dormi toute la nuit et en me réveillant j'étais dans une chambre d'hôtel, une belle chambre. Aïe. J'avais mal au ventre qui était entouré d'un bandage clandestin. Une paire de chinois est rentrée et m'a lancé des fringues que j'ai enfilé rapidement. Je suis sortie de la chambre et on m'a conduit dans un salon, enfin ça y ressemblait. Un mec qui parlait ma langue s'est ramené. Qu'est-ce que je pouvais bien avoir dans le ventre? Il m'a vite répondu que j'avais du CPH4, une nouvelle drogue. Les mères enceintes en produisent pour donner une force surhumaine à leur foetus au moment où celui-ci doit former ses os. Moi j'en avais 100g dans le ventre, dans des putains de sachets en plastique. D'autres gens sont arrivés, il nous a expliqué que nous allions transporter ces merdes jusque dans des pays européens, arrivé là-bas nous étions censés être pris en charge. On nous retirait cette merde et tout était fini. Cela étant dit, on m'a arraché la vue avec un fichu sac en tissu noir. Il était d'ailleurs plutôt épais. Je me suis réveillée, accrochée dans une salle bizarre, surveillée par des caméras? Non je ne sais pas ce que c'était. Un chinois a voulu en profiter pour me tripoter mais je crois que riposter ne lui a pas plu. Il m'a abattu avec trois coups de pieds dans le ventre, connard. La cicatrice toute fraîche venait de s'ouvrir. Prise de spasmes durant au moins cinq minutes suite à leur départ j'ai fini par m'endormir dans cette salle, en me réveillant je défiais tout. Les lois de la gravité, de la nature. Je suis donc sortie rapidement de cette si petite salle. Mais ce n'était pas simple, plus j'utilisais mes capacités plus je me fatiguais. Je me suis renseignée sur cette drogue, elle augmentait mes capacités cérébrales de trente pourcent et si je ne retirais pas cette merde de mon ventre je risquais de mourir car les cellules de mon corps était dans un milieu hostile et avait donc choisit l'immortalité, seulement, lorsque ma dose de CPH4 allait redescendre, le milieu serait plus favorable alors elles allaient repartir dans un cycle normal et se reproduire. Mais ce passage allait être très dur à passer sans séquelles. J'ai dû récupérer les paquets dans mon ventre. Je n'avais plus mal, plus froid, les sensations n'existaient plus. Je voyais tout, les fluides, la vie dans les objets, je maîtrisais la matière et les objets. Je pouvais tout faire. Mais ça n'a pas duré longtemps, le paquet dans mon corps étant enlevé je ne devais pas puiser dans les ressources de mon cerveau. J'ai dû aller récupérer les paquets dans les autres corps des cobayes qui étaient dans la même galère que moi et je suis allée tuer le reste de la petite compagnie de Linh. Aujourd'hui recherchée je me suis lancée dans le meurtre en série. Je tue les "méchants" de ce monde. Je ne suis pas un héros, je fais tout pour sauver ma peau. Merci, en plus d'être diabétique je dois m'injecter une dose de CPH4 suffisante pour ne pas crever tous les jours. J'ai besoin de vacances, c'est pour ça que je suis venue dans cette petite ville. Mais je n'arrête pas pour autant mon métier. Je m'appelle Enoah, je ne vis pas, je survis.

Bonjour. Vous avez déjà entendu parlé de moi? Moi j'entends parler de moi. Mais ça ne me fait rien. Je ne ressens rien, je ne dis rien, parler n'est d'aucune utilité. Je vis pour survivre, je ne suis pas réellement ce que je suis. Je suis humaine sans l'être. Je ne comprends pas pourquoi vous vivez, votre intérêt, le bonheur que vous pouvez avoir en faisant certaines choses, en aimant. Je ne connais pas ces sentiments. Je ne les connais plus. A une époque je vivais pour vivre, je vivais au jour le jour, maintenant que je vis pour survivre, je vois la vie différemment. Je trouve que tout ce que l'on fait, tout ce que l'on produit n'est d'aucun intérêt. Je me demande même pourquoi nous cherchons à vivre plus longtemps. Nous ne servons à rien. Je n'ai pas de caractère, je ne ressens rien, je souris pour le vide. Je n'aime personne, je ne sais pas ce que c'est que d'aimer, d'avoir des amis. Je ne sais pas, je ne connais pas ça. Je suis trop différente. Je ne suis pas humaine en fait, je ne suis même pas ce que je suis. Je m'épuise avec cette drogue qui circule dans mon sang en permanence, je me détruis intérieurement comme si une bombe lançait des grenades et endommageait mon corps. Je fais une hémorragie interne à laquelle je ne peux pas échapper. Je finirai par mourir, mon corps demande toujours plus de CPH4... Toujours plus et j'en trouve de moins en moins. Le seul avantage que je peux avoir face à cette drogue c'est que je peux choisir le taux de capacités cérébrales que je peux utiliser de mon cerveau. Je ne suis pas contrainte à utiliser 40% de mon cerveau en permanence... Mais pour vous apprendre quelque chose, l'Homme n'utilise que 10% de ses capacités cérébrales. Je suis donc bien au-dessus d'eux... Mais ça ne me fait rien. Je ne connais pas les sentiments. Je ne sais pas pourquoi on fait les choses. La seule chose que je ressens c'est la peur. Elle reste là malgré tout même si elle n'est pas autant présente qu'avant. Elle est petite mais suffit à m'effrayer. La mort me rattrape à une vitesse folle. La seule chance que j'ai de m'en sortir c'est de m'injecter cette drogue.

Prénom : Rachel
Nom : Aingil
Race : Nezumi
Race précise : Touhou
Sexe : ♀
Age : 25 ans
Pouvoir : Contrôle de la glace
Orientation : Hétéro powa yeah.
Histoire : Alors. Elle a pas eu une vie super méga triste mais, disons, qu’elle a toujours eu du mal à aller vers les autres alors forcément pour ce qui est de l’enfance de Rachel c’est dur à décrire si ce n’est par les mots solitude et joie. Oui, l’heureuse solitude de Rachel au final. Ça pourrait même faire un titre de bouquin. Stop les plaisanteries, soyons sérieux/ses ? OK on s’en fout. Elle a donc, comme vous avez pu le lire plus haut, la particularité d’être froide de l’extérieur. Dans les deux sens. Les petits gamins n’osaient pas l’approcher d’autant plus qu’elle leur donnait la chair de poule quand ils voulaient lui faire la bise. Juste la bise. Enfin bon. Avec le temps, elle a eu la chance que l’effet s’atténue un minimum. Plutôt bonne élève elle rapportait des bonnes moyennes et était récompensée par des pulls. Juste des pulls. Et encore un juste parce que j’aime les juste. Mais elle s’en fichait de tout ça, elle voulait juste qu’on lui parle car elle faisait beaucoup d’efforts pour ; par exemple, dès lors où elle a su qu’elle avait un pouvoir, elle l’a caché à toutes les personnes extérieures et même à son petit frère Georges. Seuls ses parents ainsi que sa grand-mère étaient au courant. La chance qu’elle a eue est que ses parents sont très ouverts et ne rejettent pas les autres pour leur différence. Sauf lorsqu’ils ont appris qu’elle pouvait se transformer aussi. Alors là… Ils l’ont foutu en Internat pour filles. Rachel a tenu un an avant de demander à ce que l’on la mette dans un Internat moins stricte. Elle avait alors 16 ans. Son souhait exaucé, elle ne revoyait cependant sa famille qu’à Noël et lors des grandes vacances. Son petit frère lui manquait. A 18 ans, l’année du B.A.C. elle a rencontré un jeune gars dans sa classe. Aux premiers abords plutôt mignon, plutôt gentil. Il faisait parti des populaires et, au début, il la reniait comme si elle lui était juste inférieur. Elle s’en ait pris des insultes de sa part avant qu’il ne commence à être compatissant à son égard. Et puis, de fils en aiguilles elle est devenue son amie, sa meilleure amie, sa confidente, sa copine et il y a trois mois, elle aurait pu être sa femme. Comme vous l’avez compris –nan personne a compris je sais- elle a eu son B.A.C. mention Assez bien. Bon elle était plus occupée avec son copain donc ça se comprend. Elle s’est ensuite trouvée un boulot en temps que serveuse dans un petit café, puis dans un restaurant, puis dans un grand restaurant. Elle s’est installée avec son copain et puis a commencé à vivre sa vie. Les journées se ressemblaient mais le soir, tout changeait d’un jour à l’autre. Et puis, un soir où elle attendait que son copain rentre de son boulot d’agent immobilier, elle reçut un appel de sa meilleure amie. Il était mort. Tout était mort. Dans un carnage. Une voiture ne s’est pas arrêtée, a foncé dans sa moto et lui a fait I believe I can fly. Enfin bon. Elle a assisté à l’enterrement et s’est terrée dans le silence. Aujourd’hui, elle tente de reprendre une vie normale. De retrouver le plaisir de vivre, tout simplement.

Mentalement.. Rachel fait partie des personnes qui ne s’attachent pas facilement. En effet, elle a dû mal à faire confiance aux gens. Gros problème lorsque l’on a eu une enfance plutôt solitaire. Elle essaye de comprendre les autres, de les aider. Elle aimerait aider la terre entière, mais malheureusement elle effraye plus de monde qu’elle n’en aide. Tant pis, c’est la vie. Elle tente souvent de faire passer les autres avant elle, si bien qu’elle finit par s’oublier. Elle se préoccupe beaucoup trop des personnes qu’elle aime et a du mal à accepter le fait qu’elle ait pu perdre quelqu’un. Le dernier membre de sa petite vie qu’elle a perdu l’a empêché de dormir. En même temps, perdre le seul mec qu’on n’a jamais aimé c’est plutôt dur. Surtout quand on sait qu’il nous aurait sûrement demandé en mariage. Elle n’est pas vraiment hypersensible mais elle change facilement d’émotion. Pas de comportement. Enfin bon. Sinon elle sourit souvent, voire même pour un rien mais elle s’en fiche du regard des autres. Elle a du mal… Okay. Beaucoup de mal à faire des choix et rajoutez ça au fait qu’elle est souvent totalement paumée dans ses sentiments pour faire Rachel. Enfin une partie. Elle passe son temps à rien faire, à errer dans les petits cafés. Elle aime le thé plus que le café. Elle en boit tous les jours. En temps d’hiver elle aime mettre des écharpes tube et des trenchs. Elle a beaucoup de pulls jacquards. C’est les pulls style Noël quoi. Enfin bon. Elle est végétarienne cependant elle mange de la dinde. Ouai donc elle n’est pas vraiment végétarienne. Elle a un faible pour les bruns. Ouai. Ou châtains. En fait elle ne sait pas choisir mais on lui pardonne parce qu’elle est juste adorable. Elle est joueuse et plutôt gamine dans sa tête bien que des fois la maturité fasse surface. Elle ne s’énerve pas facilement et est plutôt calme de nature. Et puis même quand elle s’énerve ça reste sobre sérieux. Elle n’aime pas mentir souvent elle utilise le mensonge pour se protéger et protéger ceux qu’elle aime. Elle a la fâcheuse habitude de ne pas tout le temps dire ce qu'elle pense ou ressent. Elle n'aime pas parler d'elle et de sa différence. Rachel n'aime pas jouer avec les sentiments de autres et n'aime surtout pas quand on fait du mal à la personne qu'elle aime le plus. Pas vraiment jalouse, elle n'apprécie cependant guère qu'on s'approche de trop près de son sien. Sinon elle sort les griffes ? Eh mais en fait. C'est une Touhou donc elle a pas de griffes. OSEF. Sinon elle n'est pas vraiment bagarreuse mais répond aux provocations à répétition. Elle regrette beaucoup de choses mais ne peut pas s’empêcher d’aller de l’avant. Son rêve ? Trouver le bon. div>