Je vis sortir Alice de sa chambre, et dans l'encadrement de la porte j'avais vu qu'il n'y avait personne. Etant soulagé je lui pris la main l'entrainant ainsi dans sa chambre. Je la déposa sur le lit et m'assit à côté d'elle. Je l'embrassa et la serra contre moi. Sa chaleur me réchauffait le coeur. J'approcha ma tête de son oreille et l'embrassa au cou avant de ne lui chuchoter :

-Je t'aime Alice...

Je lui parla comme d'habitude, avec la même voix, aussi mysterieuse et aussi heureuse. Depuis le jour où je l'avais vu elle m'avait plu, pas seulement l'aspect physique mais... comment dire ?! Nous nous étions rapprochés sans le vouloir, ça c'est fait naturellement. Pour moi c'était un signe. Je remit ma tête normalement et la regarda passionément dans les yeux. Dans ses beaux yeux, j'esperait de tout coeur que cela durerait entre elle et moi. Je passa mon bras derrière son dos et la serra une seconde fois contre moi, je profitais au maximum de ce moment magique. Sans le vouloir ma main glissa et atterit sur son bas du dos. Je ne savais pas quoi faire. Allait-elle m'en vouloir ? Je ne le savais pas...

J'étais gêné. Je regarda Alice, elle me regardait d'un air interrogateur. Que pensait-elle ? Je ne le savais pas. Mon coeur se mit à battre de plus en plus vite. Je ne savais pas ce qui se passait. Je souris amicalement à Alice et m'allongea près d'elle. Qu'allait-on faire maintenant ? Je n'en savais guère grand chose. Je lui pris la main et lui fit un bisou dessus. Pour moi notre amour était immense. Si il allait aller loin ? Je ne le savais guère mais ce qui m'importait c'était qu' Alice soit au près de moi... Je réflechit un instant. Quand j'avais sans le vouloir baissé ma main Alice avait eu l'air de comprendre quelque chose. Je réflechis longuement. Je fut surpris quand je trouva la réponse. Elle pensait que... Je la regarda un instant avant de me demander tout bêtement si j'allais lui demander pour être sur. Je me redressa toujours sa main dans la mienne et me retourna pour l'avoir en face de moi.

- Alice ? Tu pensais que on... Fin tu vois ce que je veux dire ?

Je la regarda d'un air un peu surpris. Je détacha gentillement nos deux mains et posa la mienne près de sa tête, puis ma seconde main de l'autre côté. Je descendis doucement ma tête et je l'embrassa. Ses lèvres était comment dire, douce, sucrées, c'était délicieux. Elles étaient d'un douceur incomparable. Mais ce qui me semblait bizarre c'est que je ne m'en était pas aperçu avant ! Mon coeur battait de plus en plus vite dans mon corps. Il n'avait jamais autant battu. C'était la première fois. Je ne savais pas ce que cela voulais dire, mais le simple fait d'être avec elle me redonna le sourrire et me fit oublier mes battements de coeur. Elle me regardait si gentillement. Je l'aurais dévorée (expression) si je pouvais.

"... Je ne pensais pas... Je veux dire... Je me suis demandée pourquoi... Ta main... Enfin voilà..." bredouillais-je.

Je me releva. Rassuré je m'assit près d'elle. Je la contempla un moment avant de ne tourner mon regard vers la fenêtre. Je la fixa un long moment et j'aperçu un groupe de jeunes en dehors. Je souris avant de ne me retourner pour regarder Alice. Elle était si belle. Sa chevelure si magnifique, tout le monde tombe amoureux de ce type de fille.

- D'accord...

Ce n'était pas un d'accord du type dommage, c'était plutôt un d'accord d'acceptation. Je ne savais vraiment pas quoi faire, mais vraiment pas quoi faire. Je la regarda un moment avant de m'allonger à nouveau près d'elle. Je lui pris une seconde fois la main et la serra gentillement. Je tourna ma tête vers elle et ouvris la bouche pour lui parler.

- On fait quoi maintenant ?

J'essayais en vint de trouver quelque chose à faire. Sans succès. J'espèrais que Alice elle ne serait pas à cour d'idées. Je tourna ma tête et me mis à fixer lamentablement le plafond espérant qu'une idée me vienne. J'étais encore un peu sous le choc du geste un peu déplaçé que j'avais eu envers elle. Je ne m'étais pas excuser. Je m'empressa de tourner ma tête pour lui parler.

- Désolé Alice... Je ne l'ai pas fais exprès... Je... Je n'aurais pas du être brusque comme je l'ai été...

Je dis cela en espérant que sa calme l'ambiance et qu'Alice soit moins gênée devant moi. Je n'avais pas pensé. Si quelqu'un serait entré toute à l'heure. Il se serait fait des idées... Et si une prof était entrée ! Elle nous aurait séparé. Ralala mais qu'est ce que j'ai dans la tête à faire un truc pareil ! Je ferma les yeux en essayant de penser à autre chose. Je me dis que finalement heuresement que je me suis arrêté là...

Alice me prit la main et la serra. Je souris en la regardant. Je pris ma main libre et la plaça par dessus les deux siennes ainsi que la mienne. Je lui souris et fis un léger bisou sur nos mains. Je l'aimais tant. Elle me comprennait, c'était comme mon double. Je lui passa une main dans les cheveux. Je pris délicatement une mèche et je l'enroula autour de mon doigt. Essayant en vain de chercher des idées pour profiter de notre moment à tout les deux.

- Alice, tu n'as pas une idée de ce que l'on pourrait faire tout les deux ?...

Moi on m'aurait poser la question j'aurais répondu bêtement "On devrait se regarder". Que je suis stupide parfois ! Je replaça ma main sur la sienne et m'approcha pour l'embrasser. Je l'embrassa un long moment avant de ne revenir à ma place initiale. Je lui passa une main délicate sur sa joue, sa joue si douce. Je resta là à la regarder. Rien que de la regarder me suffisait. J'en appernait un peu plus sur elle chaque fois que nous étions ensemble. Je profitais à chaque fois que nous étions ensemble pour ne pas laisser une miette. Je l'observais, elle et ses magnifiques yeux bleus qui luisaient de bonheur.

Ce que l'on pourrait faire ensemble ? Je ne savais pas trop. Aucune idée à vraie dire. Ce n'est pas que je m'ennuie ici, mais c'est vrai que l'action manque beaucoup ici. Je regardais vivement le réveille, cela faisait à peine Dix minute qu'ils parlaient ici. Mais le temps n'était pas un problème. Nous en avions devant nous. C'était tout ce qui comptait. Je le regardais et fis un signe négatif de la tête. Non je ne savais que faire... C'était embêtant mais franchement, je ne savais que faire, pour... Satisfaire ? Non, pour être active avec Naru... cela commençait à faire très long.

Je sourpirais d'aise. Je commençais à jouer avec mes mèches de cheveux. Je les entortillais sur mon index de ma main gauche. Ma queue était tombante sur le côté du lit. C'est vrai que je commençais à m'ennuyer un peu. Je fermais les yeux un instant, histoire de savourer un peu se moment de paix. Je les ré-ouvrit. La lumière était toujours la même. Je me retournais encore vers Naru. Ce que j'aimais sa présence ! Elle était rassurante, réconforante... Je ne pu m'empêcher de sourire. Ce moment de calme à deux, sa présence, nos embrassades... Tous ça me faisait sourire. C'était merveilleux, tout simplement... !

Je fut surpris de sa réponse, elle qui a toujours des bonnes idées, cette fois-ci elle semblait à cour. Je réflechit un instant et finalement trouvit une bonne idée qui pourrait remettre de l'ambiance.

- J'ai trouvé...

Je me redressa et fixa le ventre d'Alice. Je vint y placer mes mains et me mis à la chatouiller. Elle rigolait à en pleurer. J'avais un grand sourrire au lèvres et je rigolais même interieurement. Je la regardais se tortiller devant moi, autant vous dire que c'était à en pleurer de rire. Je m'assis près d'elle et quand elle fut arrêter je l'embrassa.. avant de ne la rechatouiller. Je me sentais bien avec elle, le feeling passait normalement, sans embûches. Je la regarda se tortiller devant moi. J'en riait de plaisir, et aussi de rire. Ma petite Alice se tortillait devant moi, je ne pouvais que rire. Quand elle s'arrêta je regarda ses yeux. J'avais peur qu'elle se retourne et se mette à me chatouiller. En plus moi qui était d'un naturel chatouilleux cela ne m'aidait pas. Si elle se mettait à me chatouiller, autant vous dire que je me sentirai bête. J'aurais quand même pu penser à autre chose ?! Non ? En plus je ne suis pas malin de faire ça alors que moi aussi je crains les chatouilles.

Je me faisais chatouiller par Naru. J'étais Hilare et je me trotillais pour essayer d'y échaper. Entre deux il m'embrassa, mais au lieux de rester comme ça, il se remit à me chatouiller. Oh que je n'en pouvait plus. Il commençait à rire lui aussi. Au bout d'un moment, il s'arrêta. J'avais tellement rit que les larmes me montaient aux yeux. En même temps, j'évais été prise au dépourvue. Je soupirais dans des "houuuuu" pour me calmer et reprendre mon souffle également. c'est que je crin énormément les chatouilles. Comme tous les chats d'ailleur... Je regardais Naru d'un air de dire: "Ho attends tu va voir"... Cette pensée me mis un sourire nargueur sur les lèvres. Dévoilant une dentition parfaitement alignées. Ces années avec des bagues m'avaient servi au final. Ces années de soufrances !

Je me redressais. Le regarda droit dans les yeux. Approchant ma tête de la sienne. Mes lèvres frolèrent les siennes, mais, au lieu de l'embrasser, au dernier moment, je me mi à le chatouiller également. On peut dire qu'il craignait les chatouilles autant si ce n'est plus que moi ! Il se tortillait à en pleurer de rire. Moi, ne résistant plus, j'éclatait de rire. J'arrêtais quelques secondes et vis que ses pieds étaient près de moi... Je savais que les oreillés laissaient des plumes. J'en pris une, puis, plus vive que n'importe quel chat, je pris le pied de Naru et enleva sa chausette à une vitesse alucinante. Je pris la plume et éfleura son pied très lentement au début, puis plus rapidement, avec. Là, il tombait dans tout piège pour un chat !

Je me tortillais en vain en essayant de sortir de cet enfer. Quand je pense qu'elle avait fait jors de m'embrasser. Elle s'arrêta, je me mis à souffle pour reprendre mon souffle, à peine arrêté je la vis saisir un plume, j'essaya partir mais elle attrapa mon pied. Et me fit souffrir. Je n'en pouvais plus, j'en pleurais même. C'est à dire que comme tout chat qui se respecte je craignait atrocement les chatouilles. Je la regarda les yeux en larmes et lui demanda.

- S'il te plait arrête .... dis-je les larmes aux yeux.

Je lui souris, d'un sourrire inocent. Je n'en pouvais plus et autant dire que je craignais les chatouilles comme tous les chats. Ma queue vint s'accrocher à la sienne. Elle s'arrêta et me fixa. Je ne savais pas ce qui allait m'arriver. Je cherchais un moyen de m'enfuir mais si je m'enfuisais elle recommencerait. Je me contempta donc de la regarder, la regarder et la regarder. Attendant une réponse, une réaction de sa part. Ma queue ne bougait plus, elle était figée et collée à celle d'Alice. Je la regarda un long instant, sa queue et la mienne me faisait pensé au signe du zodiaque. La mienne était noir et la sienne brune rayé de noir. Je souris à la simple vue de cette pensée. Je la regarda dans les yeux atendant en vain une réponse, une réaction.

Tient ! Monsieur me chatouille et après on me suplie lorsque je me venge. Tien donc, comme c'est ironique ! Je m'arrêtais cependant. Il avait la larme à l'oeil. Comme c'était touchant ! Mais bon, comme moi aussi, je craignais les chatouilles, cela me semblait normal. L'instant d'après, sa queue agrippa la mienne. La vison de nos deux queues ainsi emêlées me fit sourire. La mienne était touffue et de couleur fauvement tigrée. La sienne était tout simplement fine et noire. Casiment le contraire de la mienne. Si la mienne était blanche, sans taches, le contraste serait encore plus flagrant. Et parce que les contraire s'attire et que qui se ressamble s'assemble, j'aimais Naru par dessus tout. Nos deux queues ressemblaient au signe des gémaux dans l'astrologie. Mon signe à moi, c'est scorpion. Je ne sais pas si j'ai des affinités avec le signe de Naru en particulier... Peu être était-il Bélier, le meilleur ami des scorpions, d'apès les oroscope de l'amour de tout les magazines féminins que je lisais chaque semaine. L'internat les ressevait et les distribuait à chaque fille de chaque classe qui était abonnée. Dont moi. J'étais abonnée a quelques magazines, mon lit était souvent bazarder avec toute les revue que je ne jetterais jamais. Enfin bref, j'étais là, assise sur mon lit à contempler nos queues. Je ne bougeais pas, mais une envie me repris. Je m'avançais sur le lit et embrassa Naru. Que ses lèves étaient délicieuses ! Doouces... Sucrées ! Un délice de saveurs ! Je retirais à contre coeur mes lèvres pour venir m'allonger à côté de lui, la tête sur le devant de son épaule gauche.

Alice était si belle. Elle s'avança et vint m'embrasser avant de ne s'allonger près de moi. Je regarda la pendule, il était presque l'heure de retourner en cours. Je fixais la pendule, ou plutot la trotteuse. Je n'esperais pas que cela sonnerai, mais bon. Je m'allongea sur le côté fixant Alice. Ses yeux brillaient de bonheur ce qui me fit sourrire. Je cherchais un moyen de nous divertir. J'aperçu un oreiller. Je fis un geste rapide pour le saisir et je le lança sur Alice. J'esperais que cela nous ferai passer encore un super moment tous les deux. Je la regarda. Ou plutot je chercha du regard dans sa chambre un oreiller. Je gloussa, il y en avait un juste à côté d'elle. J'étais cette fois-ci vraiment dans une mauvaise situation. Je me retourna, allongé sur le dos je fixais l'oreiller en question. Esperant qu'elle ne l'avait pas vue. Je m'approcha d'elle et la saisie par les hanches. Je la posa sur mon épaule comme si je portait un sac. Elle se tortillait pour essayer de répondre. Je la posa sur le sol et m'accroupi à côté d'elle. La tentation était trop forte. Je m'abaissa et me mis à l'embrasser esperant que ce baiser n'en finirai plus. J'ouvris les yeux, elle les avait fermés. Je fixai sa mèche de cheveux qui se balladait sur son visage. Je sentai son souffle, j'arrivai à déceler son odeur. Quel pur bonheur. Je referma les yeux en essayant de profiter un maximum de ce moment avec elle. Ses lèvres, si douces, si pettillantes, si sucrées. C'était délicieux. Un moment plein de magie, et surtout d'amour. Je saisi la couverture et nous recouvris l'un l'autre. A contre regret je décolla mes lèvres des siennes et la regarda dans les yeux, dans ses beaux yeux.

Je n'avais âs de temps de repos avec lui. Une fois allongée, il me lança un oreillet en pleine figure. Surprise, ma tête fu figée en un O. Je regardais autour de moi. J'en avais un tout près de moi. J'essayais de le prendre mais au moment où ma main se pose sur le coussin blanc, je me fais prendre par la hanches, puis portée comme un vulgaire sac à patattes. Il me posa ensuite, après quelques secondes ou je me trotillais pour "re-déscendre" de son dos. Il vint en m'embrassa. Par terre, il faisait froid. Il tira, pendant notre baiser, la couvertur, qu'il déposa sur nous. j'étais allongée par terre. Lui au dessus de moi, a m'embrasser. Il retira cependant ses lèvres. Ces délicieuses lèvres que j'aimais tant sentir sur les miennes. Je rouvris les yeux que j'avais fermé pendant le baiser. Je découvrit une tête d'ange au dessus de moi. Il me regarda dans les yeux. La tentation de recommencer était grande, très grande, Trop grande. Et comme une alcolique reprend de l'alcool, je revins coller mes lèvres sur les siennes.

Nous étions au sol. Le sol était si frais, mais la couverture réchauffait l'air. Alice remonta sa tête et vint m'embrasser. Je descendis doucement la tête, collant la sienne délicatement au sol. Je décola légerement mes lèvres et découvrit son visage aussi magnifique que d'habitude sur le sol. Je lui souris et lui enleva les quelques mèches qu'elle avait sur le visage. Je colla mon torse sur sa poitrine. Sa bouche était si près de moi. Je la regardais dans les yeux. Elle était si belle. La tentation fut trop forte. Je descendis à nouveau ma bouche sur la sienne et l'embrassa. Ses lèvres, douces, sucrées, un mélange de saveurs délicates et pétillantes. C'était exceptionnel. Je placa ma main droite à droite de sa tête et ma main gauche à sa gauche. Je releva la tête l'observant. Je descendis près de son visage. Son souffle, je le sentais, il était brulant. Je releva le visage et l'embrassa dans le cou. Moi à cette endroit là dans le cou, j'avais un tatouage. Un tatouage un peu celtique. Je releva la tête et l'embrassa. Rien que de sentir sa présence près de moi me réchauffait le coeur. D'ailleurs celui-ci battait à vive allure. Je ferma les yeux profitant pleinement de se moment magique. Je n'avais pas envie de décoller mes lèvres des siennes. Elles étaient si délicieuses tout comme ce moment d'ailleurs...

Nous étions allongés, là, par terre. Le sol frais sour une couverture où l'air était chaude. Naru déscendit et nous nous retrouvions coller l'un à l'autre. Mes jambes était entre-ouverte, par habitude. Bien que savais déjà que ca n'irais pas forcément plus loin. Nous enchaînions les baisers et Naru colla ses mains de chaque côté de mon visage. Il m'embrassa dans le coup. Je remarquais d'ailleur qu'à cet endroit il avait un tatouage. Moi, j'en avait un sur les reins, là où sa main était malencontreusement tomber.

Spoiler:

C'était assez tribal mais il était classe à mon gout. Je pris le temps de déguster chaque instant de ce moment fabuleux. Ma main droite alla se placer dans les cheveux de Naru. Elle ne bougeait preque plus. Mon haut en col bateau, presque habituel, avit des manches tellement pendante, que dans un mouvement de ma part, le col se roula... Jusqu'en dessous de ma poitrine, laissant apparaître mon soutien gorge. Ca, ce n'était pas vraiment prévu... Bon, ce n'était rien. Pas grave du tout même. Il faisait chaud, ici et dehors. Les filles étaient donc en chorts, moi également. Ce n'était pas tout ça, mais d'ailleur, même le sol était devenu chaud... Cela commençait à trop chauffer d'ailleur. D'un retournement, je me plaçais par dessus Naru, l'embrassant. La couvertur était envolée sur le lit. Je continuais de l'embrasser tout en me relevant, lui suivant, naturellement, comme accroc. Je vins me replacer sur le lit frais. Qu'allait-il se passer maintenant ?

Je fixai Alice, si belle. En la fixant je ne manqua pas de remarquer son col bateau descendue faisant apparaitre son soutien-gorge. Je la regarda, j'avais envie de l'embrasser encore et encore à n'en plus finir mais en un retournement elle vint se placer au dessus de moi et se mit à m'embrasser. Elle m'embrassait en se levant et moi, ne voulant pas que ce baiser s'arrête je la suivie. Ses lèvres si douces, si onctueuses, c'était délicieux. Elle s'assit sur le lit frais. Je fit de même et je la saisie pour la placer sur mes jambes. Je l'enlaça et l'embrassa dans le cou tout en profitant un maximum de ce moment. Je mis mes bras autour de sa taille et colla ma tête contre son dos. Je sentais son pou, qui battait apparement aussi rapidement que le mien. Je la saisie de nouveau et la plaça sur mes jambes de manière à ce qu'elle soit en face de moi, jambes entre ouvert de chaque coté de ma colone vertebrale. Je saisie un partie de son col bateau et le remonta tout doucement. Quand il arriva en haut je laissa un moment mes mains sur sa poitrine avant de ne l'embrasser passionément. Ma main droite vint se placer à son bas du dos pour pouvoir la maintenir et ma main gauche se mit dans ses cheveux. Je l'aimais tant Alice. Ma main gauche descendit et alla se placer cette fois-ci du côté droit, la saisissant des deux côtés. Elle était plus haute que moi, logique puis ce qu'elle était sur mes jambes. Je décolla mes lèvres et la regarda dans les yeux, dans ses magnifiques yeux bleu.

J'étais installée sur les jambe de Naru. Mon col était toujours pendant. Mais celui-ci vint me le relever. Il grada un moment sa main plaquée là, juste au dessus de ma poitrine ou mon coeur tambourinait comme pour une première fois. Non, effectivement, ce n'était pas la première fois, je ne l'ai pas dis à Naru, mais je ne sais pas non plus si lui aussi est pucel ou pas ? Bon, enfin bref. Ses deux mains allèrent se placer sur mes reins. Ce contact me fis renforcer l'amour dans mes baisers. je l'embrassais fouguement, puis, nos lèvres se séparèrent et il me regarda, pour une fois que j'étais plus grande que lui. Je collais mon front contre le sien. Nos souffles aussi saccadés l'un que l'autre s'entremélaient. Nous étions en cadences, en rythme, alors que la mesure était rapide. Très rapide. Mes jambes se serrèrent derrière sont dos. Mes pointes de pieds se touchaient, juste derrière son dos. Je l'embrassais de nouveau. Cette sensation était extrêmement bonne. Douceur étaient ses lèvres et bonheur était cet instant. Mes bras ellaçèrent son cou et mes poignées se tenèrent pour fermer complètement l'étreinte.

Alice semblait penser à quelque chose, enfin qu'importe. Elle s'approcha de moi et vint m'embrasser. Son souffle se mêlait au mien donnant un étonnant mélange. Je la tenais fermement. Alice vint toucher ses pointes de pied derrière mon dos. Je souris, je l'embrassa et nos deux nez s'entrochoquèrent par accident. Je placa mon index devant sa bouche et descendit lentement en arrière. J'étais maintenant mi-allongé et elle sur moi. Vu qu'il n'y avait plus aucun risque pour qu'elle tombe je détacha mes mains de son dos. Je releva le visage et l'embrassa. Ce fut un pur plaisir d'avoir encore un contact avec ses lèvres si onctueuses. Quand je redescendit ma tête, mon tee-shirt s'éleva un peu laissant apparaitre un bout de ma tablette. Cela ne me dérangeais pas, j'étais avec Alice quand même, ma petite amie. Je passa ma main droite dans ses cheveux. Ils étaient doux et blond, d'un blonds doré et magnifique à voir. Quand ma main descendit sur l'épaule d'Alice elle abaissa par accident une seconde fois le col bateau laissant à nouveau apparaitre son soutien-gorge. Je la regarda un instant. Elle profitait autant que moi ce qui me fit sourrire. Ma main droite vint lui caresser gentillement la joue et s'arrêta sur celle-ci, comme pour profiter de la douceur incomparable de sa peau. Je regarda dans ses beau yeux bleus, on aurait pu se croire à la plage. Je remonta la tête et l'embrassa une seconde fois. Cette foic-ci je vint placer mes deux mains derrière son cou. Ses lèvres douces, sucrées faisait un parfait mélange de saveurs. Je les décolla avec regrets et replaça ma tête sur le lit. Mon tee-shirt venait de remonter un peu plus laissant apparaitre un peu plus de mes abdos. Je souris et regarda Alice amoureusement. J'esperais que jamais ne se finirai ce moment.

Naru s'allongea un moment. Cette position me donnais des "fourimes" dans le bas ventre, mais passons outre à cette sensation si délicieuse que celle-ci... Je vis que son tee-shirt se relevait, dévoilant son ventre. Ses tablettes, comme aiment dire les gourmands comme moi. Ma main doite se posa délicatement dessus lorsque je m'avança pour l'embrasser de nouveau. Je l'embrassais doucement. Délicatement, comme pour ne pas abimer l'instant et ses lèvres... C'était magique. C'était à mon tour de poser mes mains autour de sa tête. Je redescendit ma tête pour l'embrasser sur le front. Je déscendit ensuite, complètement, nous étions encore corps à corps. Mon short de toile déscendais de mes reins, mais s'arrêtait juste au dessus de mes fesses. Ma main droite, enfin plutôt mon index droit frolla la joue de Naru. Tout en douceur.Ces instants sont merveilleux ! Ce que je peux les aimer ! Les adorer ! Les aimer adorement !

Je vis Alice poser une main sur mon ventre. Je la regarda souriant. Elle s'avança et se pencha sur moi pour m'embrasser doucement. Mes lèvres se décolèrent légerement mais je n'hésita pas à les recoller contre les siennes. Ses lèvres si douces, si délicieuses. A peine ce cour baiser terminé elle redescendit sur moi et m'embrassa une seconde fois. Je profitai pleinement de ses instants magiques, qui me faisait sortir de la réalité. Quand je sui savec elle je ne pense plus aux ennuis de la réalité, je suis dans un autre monde.Pendant cette instant magique ma main droite vint se poser sur son bas du dos. Je m'aperçu d'ailleurs qu'elle avait un magnifique tatouage. Je souris et l'embrassa dans le cou. J'ouvris ma bouche pour lui sussurer dans l'oreille un poème :

- Tout a commencé quand nos regards se sont croisés,
Tu as renversé mon coeur, tu l'as fait chaviré.
-Un vent d'amour m'a fait perdre la tête
Notre histoire est née pour ne pas qu'elle s'arrête.
Notre amour grandit de jour en jour
Je te laisse entrer et ferme mon coeur à double tour.
~

Tout devient beau et merveilleux
Quand je vais me noyer au large de tes yeux.
Des sentiments encore ignorés se sont crées
Il faut les conserver et ne jamais les briser.
Dans tes bras je pars m'envoler
Dans un monde doux et sucré.
~

La flamme de mes yeux s'est allumée
Le soir ou nos lèvres se sont touchées.
Aujourd'hui le destin nous appartient
À nous seul de savoir prendre le même chemin.
Mon amour pour toi est le plus grand
Je n'ai aucun doute sur mes sentiments.

Je marqua une courte pose, repris ma respiration et respira l'air qui nous entourait. Je souris et effleura sa peau avant de finir ce beau poème.


-Je t'aime.

Je retira ma bouche de son oreille et la regarda. On était à nouveau en corps à corps. Je sentais sa chaleur corporelle, je sentais son souffle, son pou. Je lui souris avant de ne lever légerement ma tête pour l'embrasser passionément. Je profita au maximum de ce baiser que j'essaya de faire durer longtemps. Après ce doux baiser je remis ma tête à ma place toute en décendant un peu plus ma main droite qui s'entrechoqua légerement avec le haut de son short.

Naru me récita un magnifique poème. C'était merveilleux. Les mots qui me touchèrent le plus, sont les derniers, les plus simples, mais les plus délicieux également ! Je soursis au contact da sa main, juste au dessu de mes fesses. Je répondis a Naru par un poème également:
"Lorsque je t'ai rencontrer,
Mon coeur a chavirer,
Dans une dérive sans fin,
Mon histoire en solo a entamer sa fin.
Je t'aime aussi !"
Dans un mouvement pour aller l'embrasser, j'oubliais sa main qui s'enalla se poser sur ma fesse du coté de celle-ci. Je roudis mais embrassa cependant Naru. Ces lèvres douces et délicieuses sur les miennes s'était délicuesement bon !

Je fus heureux quand j'entendis le petit, mais touchant poème d'Alice. Je l'embrassa dans le cou. J'étais le plus heureux du monde. Je saisit mon tee-shirt et le jeta sur le lit le plus proche. Cette fois-ci j'étais torse nu. Ma main gauche vint se placer à son tour juste à la limite de son short. Je descendis un peu plus mes mains, ayant un meilleur contact avec les fesses d'Alice. Je la regarda longuement, ou plutot la contempla. Je frotta mon nez contre le sien gentillement.

- Bisou d'esquimaux... dis-je à voix basse.

Je lui souris et l'embrassa. Je ressentis cette fois-ci un autre sentiment, l'ambiance autour de moi et nos positions me faisaient penser aux films d'amour. Elle avait mit un parfum qui sentait extrêmement bon. Quand je respira son odeur je descendis encore un peu mes mains. Je la regarda, la fixant dans les yeux. Je leva ma tête et l'embrassa. L'embrassa le plus longtemps possible. Le plus longtemps possible pour profiter de ce moment à nous. Je releva la tête et la regarda dans les yeux, dans ses beaux yeux. Mes mains descendèrent encore un peu. Je baissa mon visage et lui fit un baiser au dessus de la poitrine. Ses chevxu blonds retombaient sur son soutien-gorge. Je souris et la regarda dans les yeux. Je décolla ma main gauche et je vins lui passer une petite carresse sur sa joue. Je remonta ma main et la mit dans ses cheveux. Dans ses doux et soyeux cheveux. Je vint reposer ma main sur son bas des reins et la descendis jusqu'à la même hauteur qu'aupart avant. Je regarda son visage, son doux visage. Je lui souris et plongea mon regard dans le sien. Ses yeux bleu brillaient, ce qui me fit sourrire. Je rabaissa ma tête l'enfonçant un peu plus dans le mattelas et me mit à regarder Alice. L'endroit où je lui avait fait le baiser sur la pointrine, il y avait une petite trace. Je souris et me remit à la contempler sans dire un mot.

Je ne pu m'empêcher de pouffer lorsque Naru frolla mon nez avec le siens et dit le fameux bisou esquimaux... Cela me faisait toujours rire, même étant petite. Je ne sais pas, je trouve ça marrant comparé à un bisou normal. Je souris et l'embrassa un instant. Ce fut un vrai baiser, et non pas un baiser au non de glace. L'ambiance était très hérotique en fait. Les positions d'autant plus. Ses mains sur mes fesses et les miennes sur les côtés de sa tête. Au pri si uelqu'un entrait, il refermerrait par peur de déranger... Mais non, personne n'entrerait voyons ! Je suis bête ! Enfin j'espérais pour une fois l'être... Enfin bref.

Il me regardait, comme on regardait une oeuvre inéstimable. Les yeux brillants et un sourire aux lèvres. Il me contemplait carrément. J'eux un sourire en coin, puis déscendis et l'embrassa de nouveau. J'avais une trace juste au dessus de la poitrine, là où il m'avait embrassé. Je l'embrassais, dans le cou, remontant lentement jusqu'à la bouche où le baiser que je déposais s'éternisa un moment... Je retirais à regret mes lèvres des siennes mais resta suspendue juste au dessus de celles-ci. Mon souflle saccadé était en train de redevenir stable...