Alice passa à plusieurs reprise sa main douce dans ma chevelure. Elle écarta les jambes et je lui souris. D'un coup ce qui devait se passer arriva, nos corps ne formaient a présent plus qu'un. J'embrassa Alice et en profita pour l'embraser... avec la langue. Un moment pas comme les autres se passait en se moment, dans cette chambre au deuxième étage. Je décolla a contre-coeur mes lèvres et l'embrassa à nouveau dans le cou. Puis une longue et interminable suite de baisers vint prendre place. Ma main droite vint se poser sur les reins d'Alice. Un pur moment de plaisir. Nos corps ne formaient qu'un et pour la première fois depuis notre rencontre j'avais l'impression de rentrer en elle. Une pensée vint m'envahir l'esprit et si elle tombait enceinte... d'accord je serais des plus heureux mais elle... Comment réagirait-elle ? Je n'eu pas le temps de réflechir qu' Alice vint m'embrasser. Ses lèvres douces et sucrées comme à leur habitude ne me donnaient pas envie de quitter ce magnifique festin. Mais elle retira ses lèvres et comme un accroc je recolla les miennes aux siennes. Je sépara malgré tout nos lèvres. Je passa une main dans les cheveux a Alice et lui caressa par la même occasion la joue. Sa peau était si douce. Je lui souris avant de ne l'embrasser à nouveau nous entrainant ainsi dans un second enchainement de baisers. Je commençait à ne plus avoir de souffle et je décolla avec un énorme regret mes lèvres. Je respira un grand coup et me mit comme à mon habitude à la fixer dans les yeux, dans ses si beaux yeux. Je colla encore un peu plus nos corps sentant à nouveau une sensation agréable mais difficile à décrire. Je pénetrait en elle, à ce moment précis. Je remonta ma main droite et la placa derrière sa nuque, je fis de-même avec la gauche. J'approcha mes lèvres des siennes et resta là, suspendu. Je la sentais si proche de moi, je sentais son souffle, chaud, brulant. Il était exactement comme le mien. Mon coeur battait à 100 à l'heure et nous commencions serieusement à avoir très chaud. Malgré cette situation ni elle ni moi n'avait envie d'arrêter ce moment de pur plaisir qui nous unissait. Nos souffles se mêlaient, nos corps ne faisaient plus qu'un. Et maintenant qu'allait-il se passer ? Je n'avais plus qu'une seule envie a présent : Rester avec elle...

Des frissons me parcourus lorsqu'Alice commença ses allez et venu sur mon dos. J'abaissa ma tête et l'embrassa sur le ventre. Il était brulant. Je remonta doucement et lentement le baiser et m'arrêta au dessus de sa poitrine. Je décolla mes lèvres de son corps brulant et lui fis un suçon dans le cou. Un seul sentiment me traversait : le plaisir. Je décolla à nouveau mes lèvres de sa peau brulante et mis mes mains sur le bas de ses reins, j'en profita même pour la pousser encore plus vers moi. Je lui lecha le cou à l'endroit du suçon et remonta mes mains le long de son dos. Une de mes mains remonta pour aller mettre une de ses mèches derrière son oreille. Mais l'envie fut trop forte et à peine avoir fait ça, je m'avança encore plus vers elle et l'embrassa langoureusement. De temps à autres nos lèvres se décollaient, mais à peine étaient-t-elles décollées de quelques millimètres que je recollais les miennes aux siennes savourant chaque baiser jusqu'à sa fin. Je descendis le baiser jusque dans son cou et m'arrêta pour lui faire à nouveau un suçon. Je remis ma tête en face de la sienne et plongea mon regard plein de plaisir dans le sien. Elle avait encore la marque de mon suçon. Je me mordis la lèvre inferieur et placa une de mes mains dans mes cheveux. Je me mis à les remuer doucement. Je détacha un instant ma main de mes cheveux et enfonca sensuellement le bout mon index dans la bouche. Je le retira et embrassa à nouveau Alice. Je vivais un pur moment de bonheur, j'avais droit à un festin délicieux et un moment chaud comme la braise, que demander de plus ? Je remis mes mains à leur place initiale et rembrassa son ventre en remontant sensuellement le baiser jusqu'à sa bouche ou celui-ci fut d'une extrême douceur. Je ne voulais pas décoller mes lèvres et surement qu'elle non plus mais ce baiser devait avoir une fin.

Je l'embrassa langoureusement tout en passant une main le long de son corps. Je regarda la pendule, presque 16h. Je regarda Alice un long moment avant de l'embrasser à nouveaux avant qu'une suite presque interminable de baisers toujours plus sensuels les uns que les autres viennent s'installer. Pourquoi n'avions nous pas eu l'idée d'ouvrir la fenêtre ?! On crève de chaud dans cette chambre. Je passa une main dans les cheveux d'Alice puis la descendis sur sa joue. Sa peau brulante, d'ailleurs aussi brulante que la mienne me fit sourrire. Je ne descendis pas ma main mais vint la placer sur ses reins tout en la rapprochant un peu plus de moi. Je sentais son souffle brulant effleurer mes lèvres. Je détacha nos lèvres, mettant fin à la suite de baisers qui me semblait interminable et me mis à la fixer dans les yeux tous en me mordant la lèvre inferieur. Ses orteils dans mon dos me donnaient des frissons, je souris. Elle me rendait accroc. Je l'aimais tant. Jamais je n'aurais fait ça avec mon ex. Elle s'est d'ailleurs tappé quelqu'un dans mon dos cette... Enfin bon passons. J'étais traversé par deux emotions : le plaisir et le désir. Mais qu'est ce qui pouvait suivre cela ? La sonnerie qui retentit nous annonçant que nous devons sortir en récré ? Comment vous décrire, elle m'avait tout donné d'elle. Je l'aimais tellement que je lui ai donné tout de moi. Je passa à nouveau une main dans ses cheveux puis lui effleura les lèvres avant de ne venir l'embrasser. Ses lèvres douces et sucrées, un délice. Je n'aurais pu rêver mieux...

Je profitais plainement de chaque instant passé avec elle. Surtout ceux qui se passaient en ce moment. Nos corps brulants, collés et pleins de sueurs montraient le plaisir procuré par ce fabuleux moment. Quand je pense qu'il y a une semaine encore je ne pensais pas arriver jusqu'à là avec elle. Je m'étais trompé. J'approcha ma bouche de son cou, et lui lecha. J'approcha encore plus mon bas du ventre du sien, la pénetrant un peu plus. Je poussa un cri, qui j'espère ne s'entendera pas jusque dans les classes. Ce cri traversa tout le couloir. Heuresement que nous étions seuls. Je m'arrêta un moment voyant qu'elle respirait à courte reprise et lui laissa le temps de reprendre son souffle avant de descendre un peu mon torse et de l'embrasser sur le ventre. Comme vous pouvez vous y attendre j'ai remonté le baiser jusqu'à son cou, doucement et lentement. Arrivé a celui-ci je le lecha et déplaça mes lèvres près des siennes je l'embrassa à nouveau plus fouguesement que jamais. Je souhaitais que se moment ne se termine pas. Que la sonnerie ne rententisse pas, que nous ne soyons pas forcé de nous décoller, que nous restions ensemble. Mais tout ce que je souhaitais je me doutais bien que cela n'arriverais peut-être pas. Je lui souris, elle me rendit ce sourrire en retour. J'approcha mes lèvres des siennes, les effleura et resta là, suspendu attendant qu'elle craque et m'embrasse. Mais je savais que je serais surement le premier à craquer de nous deux.