Quelle magnifique journée, de la neige partout sur le sol, et le ciel sans aucun nuage, non, vraiment? J'aime pas trop la neige, ça rend les gens idiots, et ça aveugle avec cette couleur si blanche que s'en est énervant. M'enfin, j'avais besoin de respirer de l'air pur, pas celle contaminée par ses idiots d'enfants sans cervelles. Et surtout j'avais besoin de réfléchir. Des questions que je ne m'étais jamais posé auparavant... mais plutot importante. Ma rencontre avec Tsume, mon élève, m'a fait ouvert les yeux, meme si je n'ose l'admettre, et encore moin devant elle, ça peux lui faire que plaisir. Je soupira en pensant à cela et enleva ma capuche, me rendant compte que j'étais seul. J'aimais cette tunique, surtout en hiver, elle me tenait bien en chaud, contrairement à l'été, où c'est une vrai plaie. Je marchais tranquillement sur le chemin qui menait vers une certaine grotte souterraine, j'avais entendu les élèves en parler et comme il semblait effrayé par cet endroit, j'en ai donc déduis que il n'y avais pas beaucoup de gens qui passait par là. Un endroit parfait pour se reposer, roupiller sur des roches et réfléchir tranquillement, j'avais avec moi un livre que j'avais emprunté à la bibliothèque mais qui, comment dire... est étrange. C'est un livre sur la Guerre de Sept ans, intéressant pour le sujet, mais seulement la manière dont il est écrit... mais je le lit quand meme, pourquoi? Bien, je ne sais pas. La curiosité, peux-etre. Bref. J'avais un peux froid, moi. Bon, c'est l'hiver, c'est normal, mais quand meme? J'arriva enfin par arriver à l'entrée de la grotte souterraine, vraiment impresionnante, et aucune trace de vie, heureusement. J'esquissa un petit sourire satisfait avant de rentrer tranquillement dans la grotte, comme si de rien était, remis ma capuche, car je ne pouvais supporter le froid qui fouettais ma tete comme ça, à nu. Et m'assit sur une petite roche bien froide, malheureusement,je ferma les yeux un moment pour mettre mon esprit à calme. J'avais été si jeune, si arrogant lors de mon enfance, j'avais tuer des gens innocents alors que je pensais que je faisais cela pour la "paix". Non... il m'avait manipuler sans aucune pitié, meme si certaines de mes victimes était bien un "danger", j'en avais quand meme tuer des innocents, et de plus, pour je ne sais quelle raison...Un jour, il va falloir que je retourne à Venise pour tout éclairer cela, car là... mon ami d'enfance, mort. Mes parents, oubliés. J'avais tout perdu. Quelle malchance quand meme. Alors, je ne suis pas pret de me faire des amis, et encore moins des meilleurs amis, comme ça, je ne sera plus jamais triste, plus jamais joyeux...juste neutre. Et puis les amis, c'est souvent source de problèmes, et les problèmes, j'en veux pas, enfin, j'en veux plus. J'en ai déjà assez comme ça, pas besoin d'avoir le poid de l'"amitié" sur mes épaules en plus. Je parle un peux comme un vieux, là...bon. J'aimerais bien avoir un chat avec moi en ce moment, que je puisse le faire souffrir, mais bon...j'en ai pas. Où juste quelque chose pour frapper dedans. Je sentis une présence derrière moi, je ne prit pas la peine de me retourner, trop d'effort juste pour voir un visage d'une personne. Je leva la tete pour regarder le plafond de la grotte et lança froidement:

-Bonjour.

La jeune louve se trouvant derrière moi était belle et bien Tsume. Hum... Elle avais l'intention de m'attaquer, enfin, ça, c'était son côté animal. Pa très gracieux, tout ça. Surtout faire du mal à son maître. Je resta là, immobile, sur ma roche, je connaissait très bien la suite des choses. Et je doit avouer que je ne voulais pas lui faire de mal. Après tout, ce n'était pas sa faute, l'esprit animal est toujours celui qui mène la course une fois transformé. Je le sais très bien car ça m'arrive très souvent de perdre conscience de mes agissements. Mais Tsume luttait contre son désir de sang chaud. Je soupira face à cette lutte, ça ne servait à rien, elle allait perdre. Qu'on le veuille où non. Elle poussa un grognement avant de me sauter dessus. J'étais plutôt surpris, je ne savais pas qu'elle allait lâcher prise d'elle même aussi rapidement. Du sang gicla sur mes côtes et je ne pût réprimer une grimace de douleur face à cela. Puis ensuite elle se trouve sur moi, ses crocs posés sur ma trachée, un mouvement, j'étais mort. Je le savais que trop bien. Je fixa la louve droit dans les yeux, et je pouvais bien voir que ce n'était plus l'animal, et non l'humaine que j'avais connu. C'est bien drôle, non? Cette jeune fille, il y a quelques jours, me jugeait à cause de mon passé, alors qu'au plus profond d'elle, son désir est de tuer cette certaine personne, et... Moi? Désolée ma vieille, mais j'suis pas du gibier, moi. Reste quand même que j'aurais pût éviter son coup, mais que je l'avais pas fait. Et puis qu'est ce qu'elle puait de la gueule avec son haleine de loup tout pourri. Je puait comme ça moi aussi, quand j'étais loup? J'espère pas, hein. Reste que son pelage avait l'air tout doux et soyeux. Et que c'est un loup. C'est tellement chou, les loups. Et puis c'est un canidés. Les canidés, c'est le bien. C'est tout joyeux, tout euphorique...alors qu'un chat...c'est juste horriblement paresseux, sans cœur et égoïste. Comme je déteste les chats, c'est horrible! Après tout, qui aime cette espèce de boule de poils toute moche avec un nez de cochon? Pas moi. Bref, même si la louve était vraiment mignonne, je pouvais pas toucher sa fourrure, sinon j'allais mourir. Mais je me suis fourré dans de beaux draps, moi! Oh, et puis cette queue! Comme elle a l'air douceee! C'est horrible, je vais plus pouvoir tenir, moi! C'est de la torture! Je décida de fixer juste les yeux de l'animal, une expression neutre au visage, peux-être que comme ça, elle va me laisser tranquille, et je lança doucement:

-Tsume...arrête, ce n'est pas toi. Je ne te connaissais pas avec si peu de force mentale...

Bon, je la connaissait presque pas, mais pour être mon élevé, faut au moins avoir de la volonté! Un petit sourire moqueur s'esquissa sur mon visage. Et puis, c'est quoi la suite?

[Anwww ~ Ezio peux plus tenir face à ton pelage doux et soyeux! XD]

Tsume...arrête, ce n'est pas toi. Je ne te connaissais pas avec si peu de force mentale...

Mon corps fremissa,sa gorge était là,son sang était à porté de crocs,je pouvais lui briser la nuque d'une minute à l'autre.Un grognement sourd gronda dans ma vaste poitrine et je posa mon museau ontre son cou,ouvrit la bouche,posa mes crocs sur la fine couche de peau. L'odeur capiteuse du sang me fit tourner la tête.je referma doucement mes mâchires sur le cou d'Ezio.Avant de transpérçer ses chairs je m'écroula,changea de forme pour ré-apparaître sous ma forme humaine.je m'étais écroulée contre Ezio,et comme je pesais un poid plume,je ne doutais pas qu'il serait capable de se dégager.Je poussa un léger gémissement me tenant la gorge à deux mains.Ma gorge me brûlait,c'était horrible.Comme un feu se glissant sournoisement le long de ma trachée.Je me débattis sur le sol bien que personne me retienne.Comme si me contorsionner sur le sol pouvait me débarrasser de cette douleur qui irradiait dans ma gorge.je roula sur le côté,et apérçus du sang.C'était le miens,peut après je sentis un liquide poisseux et chaud humecter mes lèvres,encore le mien.je poussa un râle,et m'accrocha à ce que je pouvais pour ne pas tomber,sombrer dans les ténèbres,à jamais.
Ma main aggrippa le poignet d'Ezio,et d'un monumental effort,je me tractionna jusqu'a lui.Après un tel effort,je me laissa rouler jusqu'a Ezio et avant que je 'ai pus réagir,mes yeux se fermirent et mon pouls cessa de battre.
lentement.Irrésisitiblement.Mortelment.

Sa réponse fut un grognement, simple, et sauvage. Elle posa son museau contre mon cou et je ne frémit même pas, la suite était évidente. La seule chose que je pouvais faire, c'était de fermer les yeux, et de la laisser faire. Je savais, au fond d'elle, elle luttait contre son instinct, même s'il était beaucoup plus fort. Elle referma ses crocs sur mon cou et le sang gicla, je rouvrit les yeux et la fit s'écrouler pour reprendre sa forme humaine. Premier réflexe? Des réflexes? Non, je n'avais même pas bougé d'un pouce, j'avais peur de lui faire mal si je la touchait, où bien qu'elle allait se débattre, et puis, elle était assez grande pour se battre seule contre cette chose qui était l'instinct animal. Elle s'écroula sur moi et je put voir dans son regard une certaines agonie qui me fit frémir. Elle n'allait quand même pas...mourir? Non, c'était juste impensable. Elle se tenait la gorge avec ses deux mains, gémissant. Qu'est ce qui...? Ce qui étais sur, c'est que j'allais la laisser se battre seule, pour le moment, si la chose empirait, je n'hésiterais pas à l'aider. Sa gorge lui brûlait, sa se voyait que trop bien, je recula, me dégageant d'elle, et la laissant se contorsionner sur le sol. Je ne pouvais rien faire. J'assistais à cet horrible spectacle de cris, de sang et d'agonie. Du sang coulais le long de ses lèvres, c’était horrible. Sa main pris en otage mon poignet et je la regarda s'avancer, où plutôt se glisser vers moi avec le reste de force qu'elle avait, et se laissa rouler jusqu'à mes pieds, et ses yeux se fermèrent. Elle avait perdu connaissance? Merde... non, ça ne devait pas se passer comme ça, je l'agrippa par la taille et l'emmena sur une roche, où je déposa sa tête sur ma cuisse, regardant son visage, elle semblait dormir. Mais je savais que c'était tout le contraire. Je la regarda et une goutte perla sur ma joue, pour arriver sur le nez de Tsume, je prit ma main et fit en sorte d'enlever cette goutte de son visage avec mon pouce, je remarqua que sa peau était étrangement douce. Pour réanimer quelqu'un...il faut lui faire le...bouche à bouche, non? Je leva mon bras et enleva ma capuche, laissant découvrir mon visage purement Italien, mes yeux gris reflétaient mon inquiétude...mais il fallait que je le fasse, pour la sauver...je me pencha et me mit à lui faire le bouche à bouche, appuyant sur son torse. J'aurais put demander à son petit copain de le faire... mais je ne pouvais pas, qui sait ce qui se serait passer pendant mon absence. En tant que maître, c'était mon devoir de veiller sur cette jeune fille encore bien naïve du monde. D'un coté je l'enviais, elle avait encore toute une vie devant elle, moi, j'avais perdu la mienne depuis bien longtemps. Depuis que j'ai commencé à tuer des gens, enfait. Quand on prend des vies, on doit s'attendre à avoir la sienne prise aussi. J'avais quand même de la chance d’être en vie, de pouvoir respirer l'air frais du matin, de toujours sentir les rayons chauds du soleil. La mort n'était qu'une sombre fin, triste mais passage obligatoire pour tout être. Après la mort, il y a quoi? Une question qui m'a toujours tracasser, mais je ne trouveras sûrement jamais de réponse avant ma propre mort.

J'ouvris les yeux et arriva efin à respirer.Mon bonheur fut de courte durée quand je commença à recracher du sang sur...tient..OH! OH MERDE!
Non! Ezio était penché au dessus de moi et je vis dans son regard une étrange inquiétude.Je mereleva,la tête douloureuse de ses genoux et nettoya doucement le sang que j'avais sur les mains.Je regarda mon environnement et quelques vagues de souvenirs s'empararènt de mon esprits.Le sang me rappelait trop ma dérnière altércation avec Gilbert.Je poussa un petit soupir et remmerçia Ezio :

Je suis vraiment désolée...Merci.Merci beaucoup.Je te dois une dette Ezio.

Je n'ai jamais aimé rendre des dettes mais là il s'agissait plus ou moins d'une obligation.Sans lui,à l'heure qui l'est je serais sans doute morte étouffée dans mon propre sang,qui sait?
Jeréalisa que ezio me fixait depuis le début,cette inquiètude ne quittait plus le gris de ses yeux.J'apérçus par la suite qu'il avait enlever sa capucheet j'eus un petit sourire.nnmoins si je paraissait calme,la souffrance qui pulsait dans mon crâne ne me laissait pas.Je ferma les yeux, fort.Peut-être que si je faisais le vide dans ma tête la douleur partirait...Au contraire le noir me fit tirer un cri de douleur et j'ouvris brutalement les yeux ou une flamme morbide y régnait. Ma main se posa contre la paroi rocheuse et y laissa une longue trace de sang.Je fermale syeux une nouvelle fosi et me recrorquevilla sur moi même.Je respira lentemment en inspirant par la bouche et d'un coup m'immobilisa et cessa de respirer.Je resta ainsi pendant une bonne dizaines de minutes et quand je fus sûre que la souffrançe soit partie je me redressa lentemment et fixa mon regard charboneux dans celui gris acier de mon professeur.

Je suis vraiment désolée...Merci.Merci beaucoup.Je te dois une dette Ezio.

Bien...tu m'a craché du sang dessus, sur la tunique, en plus! Non mais, elle sais même pas combien ça coûte de faire laver cette chose, la peau du cul, ouais! Moi je suis pas riche, je fit en mangeant du pain et du papier! Non, vraiment. Je lâcha un petit gloussement avant de me rendre compte que l'heure n'était pas vraiment à la rigolade. Je continuais de fixer Tsume, le truc parfait pour rendre les gens mal à l'aise. À vrai dire, moi ça m'amuse de faire ça. Surtout que la plupart du temps, ils finissent par s'énerver, bah là, Tsume s'énervait pas. Peux-être parce qu'à l'intérieur elle agonisait comme je sais pas quoi? Oh! Mais oui! Enfait, j'étais toujours aussi inquiet. Mais qu'est ce qu'elle a eu? En tout cas, elle semblait étrangement calme, même si je savais qu'au fond d'elle , elle souffrait toujours autant. Tsume ferma les yeux, et je décida de regarder ailleurs, qui sait ce qui va de passer ensuite...? Un cri? Une baffe? Un juron? Cri de douleur! Oh, merde. Ses yeux de rouvrit et y luisaient une flamme de... Je ne sais pas quoi! Une flamme de Satan! Non, non. Sa main se posa contre la parois de la grotte, y laissant une trace de sang, je me demanda si le concierge allait nettoyer cette horreur. Un concierge de grotte? Bravo, Ezio. Ça te réussis pas, mais pas du tout. Et hop! Elle ferma les yeux pour une seconde fois et se recroquevilla comme une pauvre petite chenille. Je souris par cette pensée idiote. Comme quoi, les élèves commençait à deteindre sur la manière de penser. Pauvre de moi. La douleur partis, et la jeune Wolve se redressa lentement et me fixa dans les yeux, j'eus un petit sourire et lança, sarcastique:

-Comme quoi un tueur en série peux sauver des vies.

Je passa une main dans mes cheveux et soupira, quel bonheur c'était de pouvoir enfin penser sans entendre de bruit douteux en fond! Cette idée le fit rire doucement, comme quoi, je n'étais pas habitué de faire ce genre de réaction. Mais là... Je fixa Tsume et approcha Mon visage du sien, et annonça, plus amusé encore:

-Ça reste drôle quand même, tu t'est fait sauver par moi, qui suit un grand méchant loup, alors qu'enfait tu aimerais tous nous éradiquer de la terre à cause de ce garçon, non?

[Booooonnnn, 00:50 AM! 8I Voilà le RP, je suis shouté, donc m'en veux pas si c'est nul! D: le café ça me réussis pas..]

Mal à l'aise je le vis son visage approcher dangereusement du mien.Un frisson d'inquiètude secoua mon petit corps et je ferma les yeux,les rouvris et fixa un autre coin de la grotte pour éviter de poser mon regard sur Ezio.Au moins je n'avis plus la tête qui semblait sur le point d'exploser une plutôt bonne nouvelle et je ne saignais plus non plus.Je passa ma langue sur mes lèvres sèches et sentis le goût du sang et autre chose de sucré...les lèvres d'Ezio?
Je poussa un petit juron quand je vis son visage aussi près du mien.Oh noon . Ni pense même pas Ezio!
Je ne pouvais reculer étant acculée contre le mur de la grotte et je ferma les yeux en espérant trèès fort qu'il n'allait pas faire ce que je redoutais le plus. Mon ventre se noua tout comme ma gorge et je m'efforça de respirer lentement quand il parla:

Comme quoi un tueur en série peux sauver des vies.

Un pâle sourire étira mes lèvres et je déglutis difficilement.Il continua et à cette phrase mes yeux s'embuèrent et une goutte perla au coin de mon oeil :

Ça reste drôle quand même, tu t'est fait sauver par moi, qui suit un grand méchant loup, alors qu'enfait tu aimerais tous nous éradiquer de la terre à cause de ce garçon, non?

Non.Non ne me parle pas de lui je t'en supplie ne me parle pas de lui. Je...je ne peux pas m'empêcher de l'aimer mais y'a Roméo aussi...C'est trop complqiué pour que tu comprenes... ,pensais-je.

Je ferma les yeux et soupira,baissant la tête pour éviter qu'il voit mes larmes et répondit d'une voix rendue rauque par l'émotion :

Gilbert ,avant de partir m'a dit de ne jamais oublier les sentimments qu'il avait pour moi.Mais à présent , alors que le désir de vengance et de mort à remplacer notre amour...Mais mon coeur et pérçé par un manque , un manque qui ne peu être remplaçé par l'amour de Roméo.Et puis sans savoir vraiment pourquoi , je pense que Roméo ne peux pas supporter qu'une fille se batte,qu'elle tue , qu'elle détruise.J'ai l'impression que pour lui , il faut qu'une femme soit gentille , bien éduquée...Qu'elle soit bien...Je ne suis pas "bien" , je mens , je tue , je fais saigner et je détruits. Je ne suis pas parfaite , loin de là.Mais....même si j'aime Roméo , Gilbert, lui , acceptait l'idée qu'une femme puisse êtreun assassin , et d'un côté j'adorais ça...
A présent dès que j'apérçoit la silhouette de Gil' dans un des couloirs j'ai l'impression que mon coeur a s'arracher de ma cage thoracique et tomber au sol.Je pense toujours l'aimer , mais c'est une situation que Roméo ne peut pas comprendre.Quand je l'ai vus avec Hélène , j'ai eu envie de la tuer.C'est comme si il m'appartenait toujours...Alors qu'en fait...Tout as changé.

Et à ce moment là il fit quelque chose qui me laissa statique..

[Cours désolé il est 00h00]

Gilbert ,avant de partir m'a dit de ne jamais oublier les sentimments qu'il avait pour moi.Mais à présent , alors que le désir de vengance et de mort à remplacer notre amour...Mais mon coeur et pérçé par un manque , un manque qui ne peu être remplaçé par l'amour de Roméo.Et puis sans savoir vraiment pourquoi , je pense que Roméo ne peux pas supporter qu'une fille se batte,qu'elle tue , qu'elle détruise.J'ai l'impression que pour lui , il faut qu'une femme soit gentille , bien éduquée...Qu'elle soit bien...Je ne suis pas "bien" , je mens , je tue , je fais saigner et je détruits. Je ne suis pas parfaite , loin de là.Mais....même si j'aime Roméo , Gilbert, lui , acceptait l'idée qu'une femme puisse êtreun assassin , et d'un côté j'adorais ça...
A présent dès que j'apérçoit la silhouette de Gil' dans un des couloirs j'ai l'impression que mon coeur a s'arracher de ma cage thoracique et tomber au sol.Je pense toujours l'aimer , mais c'est une situation que Roméo ne peut pas comprendre.Quand je l'ai vus avec Hélène , j'ai eu envie de la tuer.C'est comme si il m'appartenait toujours...Alors qu'en fait...Tout as changé.


Je me sentais mal pour elle, et décidément le jeune van Oogen avait refait sa vie. C'est alors que je ne compris plus mes gestes. Je me baissa pour rencontrer les lèvres douces de Tsume, et ferma les yeux. Qu'est ce que j'avais fait? C'est comme si j'avais été poussé par quelque chose, où tout simplement, je voulais la calmer, mais décidément, cela n'eu aucun effet car lorsque je me redressa, elle était comment dire...choquée je la regarda, ahuris. Ce n'était pas moi...c'est, involontaire.... J'haussa les sourcils, mes pensées se mélangèrent, j'avais un affreux mal de tête, c'était les conséquences de mon pouvoir, je ne pouvais m’empêcher de penser, de voir des visions, d'entendre des voix dans ma tête, et ça allait jusqu'à me rendre insomniaque. Je poussa un cri étouffé par quelque chose, et je mis ma main devant mes yeux, cette vision, la même depuis le jour où je l'ai tué, Leonardo. J’arrêtais pas de le voir, et à chaque fois j'éclatais en sanglots, oh non, pas maintenant...bah devant elle, que je venais tout juste d'embrasser, sans aucunes raisons, putain! J'étais vraiment pas civilisé quand je le voulais, moi. Je me mordit les lèvres et me serra les dents si fort que j'entendis un craquement, et une larme coula sur ma joue. Bon, je passe pour un gros homosexuel, désormais. Je lâcha un juron bientôt étouffé par des toussotements de plus en plus fort, j'allais vomir... oh, et puis là, merde, hein. Je poussa la tête de Tsume et me dépêcha de sortir pour aller faire mes affaires dans un buisson, une fois que j'avais finis, je m'essuya la bouche avec de l'eau de ma gourde et j'étais devenu plutôt blême. Je passa ma main sur mon front qui étais brûlant et cria de toute mes forces:

-Euh...Tsume, je vais pas bien, mais pas bien du tout...et que....bleuuuaaarrggghhh....beh j'ai pas fait expbleeueuuurrrrrhhhhh.

J'avais tellement vomis que je me sentais aussi vide que mon porte-monnaie. Non, je rigole. J'ai quand même de quoi me nourrir. Je tomba sur le sol et commença à prendre de grande bouffée d'air frais.

(Pas classe, le n'Ezio XD)

Je vis Ezio se baisser vers moi et poser ses lèvres contre les miennes. Surprise je posa mes mains sur son torse et le poussa fermement le regardant d'un air choqué. Qu'est ce qu'il lui prenait là? Soudainnement il poussa un petit gémissement horrifié et je vis une goutte couler sur sa joue. Euh.. j'étais censée faire quoi ,moi? le prendre dans mes bras et lui chanter une berceuse peut être? je restais prostrée contre la paroie le suivant des yeux. Là , comme si il n'était pas encore bien assez enfonçée il commença à toussoter de plus en plus fort... Ah tient, vous saviez que si vous toussiez beaucoup vous vomissiez? Non? Bah moi je viens de le découvrir. je le vis commencer à vomir dérrière un petit buisson et je fronça le nez. Entre deux vomissements il me lança plus pâle que moi encore :

Euh...Tsume, je vais pas bien, mais pas bien du tout...et que....bleuuuaaarrggghhh....beh j'ai pas fait expbleeueuuurrrrrhhhhh.

Bon génial , je sens qu'il va me refiler sa gastro et en plus il est entrain de me dire que sa bouche à ressentis la forte envie de se coller à la mienne... Mais oui tout à fait plausible dis-moi!
j'haussa un sourcil et glissa du rocher pour m'assoir sur l'herbe à côté de lui , mais assez loin pour ne pas voir ce qu'il se passait dérrière l'arbuste. Je ferma les yeux et me lança :

Euuuh... Ouais, bon on oublie tout ça ok?


Style il va me croire. Quand on se fait embrasser à moitié mourrante dans une grotte par un professeur de combat sa reste légèrement dsans la mémoire.. J'attendis qu'il me réponde toujours le nez fronçé.