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| Sujet: On recommence, encore. [terminée] (Histoire pouvant Choquer, merci) Mer 28 Aoû 2013 - 18:41 | | « You are mine, I'm not your ! » « Passport » NOM :: Miller PRÉNOM :: Alice SURNOM :: Lilice AGE :: 24 ans. SEXE :: Female. PROFESSION :: Infirmière RACE :: Harpi, Corbeau. Cette belle jeune femme peut effectivement, se transformer en oiseau de mauvais augure, ou, juste recouvrir une partie de son corps de plus, où d'écailles suivant la partie choisit, comme un bras, plutôt que le dos. POUVOIR :: Cellules. Alice peut, faire exploser ou reconstituer une cellule. Plus où moins fortement. Les organes de petites tailles peuvent être littéralement détruits, les vitaux, peuvent être sévèrement endommager. Pour les détruire entièrement, elle doit sacrifier beaucoup d'énergie, et peut laisser des traces dans son propre organisme. Plus elle est en colère, ou plus l'émotion est forte, et plus les dégats, bénéfices pourront être puissants, mais elle risque de laisser une partie de sa conscience pendant quelques heures si le tout est abusif. « IN REAL LIFE » « I'M ME, BUT YOU'RE MINE» S'il on devait décrire cette femme en quelques mots, vous ne sauriez lesquels utiliser, tant celle-ci est complexe à cerner. On ne peut pas dire que cette demoiselle soit lunatique, mais le mot susceptible conviendrait surement tout autant. La moindre remarque sur elle pourrait déclencher une catastrophe nucléaire. Car oui, cette dame sait qu'elle est belle, et n'aime pas qu'on le contredise. Pourtant, celle-ci n'est pas du genre émotive. Elle a juste une certaine fierté, et un certain orgueil à entretenir. De plus, Alice possède un caractère très fort, et ne le refoule pas. Elle ne mâche pas ses mots, devant personne. Continuons positivement. Notre infirmière est quelqu'un d'extrêmement impulsif, elle agit souvent sans mesurer les conséquences, mais lorsqu'une idée effleure ses cellules grises, autant vous dire qu'elle ne lâchera pas l'affaire, ou alors il faudra de très bons arguments pour la convaincre de faire machine arrière. Oui, cette femme est aussi bornée qu'une mule. Aussi, elle peut paraître froide, sèche ou cassante à certains moments, mais ce masque cache une partie beaucoup plus claire. Cette dame, pouvant être la pire peste, non, p*t* au monde, est aussi une vraie amie, à qui on peut se confier. Elle peut aussi être douce, et très gentille. Cependant, cette gentillesse ne s'offre pas à n'importe qui. Rares sont ceux qui la voient comme elle est réellement. Car sa confiance n'est pas chose facile à acquérir. Et, une fois perdue, elle ne revient pas. Comme une bulle de savon que l'on éclate. Plic, et plus rien ne vous fait face, à part le vide. Vide comme la neutralité qu'affiche son visage devant la plupart des gens. Vide comme les émotions qu'elle devrait ressentir à l'égard de certaines personnes, mais qui n'existent pas.
« I'M SEXY AND I KNOW IT » Lorsque vous l'aurez vu, vos yeux ne pourront plus se détacher d'elle. Cette jeune femme élégante, qui attire votre oeil, est une oeuvre d'art, quelque chose qu'on ne touche qu'avec les yeux. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, cette beauté n'est pas fragile. Non, même avec ses cent soixante-quinze centimètres et ces talons hauts, cette femme n'est pas à prendre à la légère, car son corps est une merveille niveau musculature, pour une femme. Sa peau est laiteuse, pour ne pas dire trop pâle. L'ensemble de son corps est musclé, finement, ces muscles saillent gracieusement sous sa peau couleur neige. Plus précisément, Alice possède un visage aux traits fins, qui sont souvent joyeux, et doux. Mais il ne faut pas s'y fier, vous le comprendrez rapidement. Pour commencer à décrire ce tableau, il faudrait commencer par ces cheveux blonds cendrés, qui ondulent discrètement sur ses épaules et dans son dos. Ils lui arrivent au niveau des omoplates, la masse est importante et la qualité de ces cheveux étonnante. En effet, ceux-ci sont doux, soyeux, tant bien même ils seraient rebelles, cela leur rajouterait un certain charme. Ensuite, la seconde chose à remarquer, ce sont ces yeux. Ces yeux bruns, mais pas n'importe qu'elle teinte courante, comme le noisette, non. Un brun doré, presque jaune. Ils donnent un air assez mystérieux, quoiqu'un peu effrayant à cette créature. En effet, ils ressemblent à ceux des rapaces que l'on voit chasser. Cependant, ce sont ceux d'un corbeau, qu'elle possède. Ces yeux si spéciaux sont encadrés de cils longs, fins mais nombreux. Un nez droit et fin rajoute de la symétrie sur le visage finement sculpté de cette femme. Des lèvres pulpeuses, magnifiquement ourlées, donnent envie de l'embrasser à tout bout de champ... A vos risques et périls... Pour finir, de jolies fossettes se dessinent lorsque son sourire charmeur s'esquisse sur ce joli minois. Passons maintenant au reste du corps. Sa taille, tout d'abord est fine, très fine. Ses formes son douces malgré de larges hanches. Vous trouverez sur cette guêpe humaine, une jolie poitrine, à en faire baver plus d'un. Un joli 90B... En continuant encore sur cette lancée, celle-ci est encadrée par des épaules droites, mais tout aussi fines, donnant un air un peu plus strict à la demoiselle. Comme dis peu avant, son ventre plat et musclé est encadré par un bassin large, mais très doux dans les courbes. Il ré-hausse un fessier joli, rond et ferme. Celui-ci, surplombe des jambes fines, extrêmement longues, mais tout en muscle, encore une fois. En général, cette femme est très rapide, et endurante, et on le remarque rapidement.
« MY LIFE IS A CHALLENGE » C'était il y a plus de deux décennies. Un cri retentissait en hôpital. Un nouveau né était arrivé, les médecins venaient d'insuffler en cet être le premier souffle d'air de sa vie. Longue puisse être celle-ci. C'était le jour de son seizième anniversaire. Alice, ce nouveau né dont on espérait la réussite, allait souffler ses seize bougies avec quelques amies dans un bar. Qui dit seizième anniversaire, dit fête, ou tout simplement gueule de bois au réveil, c'est vrai. Ce soir là, les trois amies s'étaient habillées court, sexy, tout ce qu'il y a de plus provocateur. Les parents déjà endormis, elles sortirent. Le bar n'était qu'à quelques centaines de mètres de la maison des Miller, et elles choisirent d'y aller à pied. Cependant, le chemin s'avéra plus périlleux que prévu. Vous savez bien, les minis jupes font souvent fureur le soir, lorsque certains mecs en ont un peut trop dans le sang. Elles marchaient donc dans la rue. Les regards se tournaient vers les trois demoiselles qui roulaient des hanches. Certains laissaient passer, d'autre s'approcher, juste pour voir de plus près. Une fois au bar, elles furent un peu plus au calme, celui-ci n'était pas très populaire, mais on connaissait bien les trois jeunes filles. Pensez-vous, c'est le plus proche, autant en profiter un maximum... - suite choquante:
Ce soir là, le problème était une bande de gars, d'un ou deux ans de plus qu'elles, qui se trouvaient au fond du bar. Ils ne leur plaisaient pas, et leur façon de rire sans gêne était exécrable. Sans rien dire, elles ignorèrent ces esclaffes, continuant doucement de parler garçon à la table, en buvant chacun une boisson légèrement alcoolisée... Enfin, plus ou moins légèrement. Évidemment, Alice ne voulait pas prendre le risque que ses parents découvrent tout cela, elle ne buvait qu'à faible dose d'alcool. Puis, comme chaque fille qui se respecte, elle alla passer un coup rapide de poudre sur ses joues. Pour cela, elle se leva, prévenant ses amies, et prit la direction des toilettes au pas de course. Elle n'aimait pas la façon dont les fixaient les mecs qui les énervaient depuis le début de la soirée. Une fois entrée dans les toilettes pour femme, elle déposa son sac sur le bord du lavabo, commençant à jouer du pinceau. Mais une silhouette masculine se dessina sur le miroir fixé au mur. Elle sursauta, lâchant sa poudre dans le lavabo précédemment cité. Elle n'eut le temps de rien, qu'il avait déjà saisi un, puis ses deux poignets. Elle se retrouva collée au mur en l'espace de quelques secondes. Se débattant le plus possible, elle ne put retenir cette main vicieuse qui passa sous sa jupe, puis sous son sous-vêtement. Elle gémit. Un doigt venait d'entrer en elle, commençant à souiller son intérieur. Le pire instant de sa vie. Aucun cri plus fort ne réussi à sortir de ses lèvres, tant bien cela lui faisait mal. Puis, à force de vas et de viens en elle, le jeune, (il devait frôler la majorité de peu) déboucla sa propre ceinture, sous laquelle un bosse commençait à gonfler. Elle ferma les yeux, détourna la tête, mais la sensation faisait le reste. On ne pouvait pas dire que celle-ci était désagréable, mais la façon dont elle était appliquée était des plus écœurante. Le membre gonflé de sang de son agresseur se posa juste à l'extrémité de l'entrée de son propre organe donneur de vie. Puis en une fraction de seconde, venait de claquer contre celle de l'utérus. Elle pleurait, gémissait au fur et à mesure que son membre la secouait de façon dégueulasse, oui, c'était le mot. Elle en avait la nausée. Le jour de son seizième anniversaire, le seul cadeau qu'un inconnu put lui faire était de la souiller, de la marquer pour le reste de sa vie, qui aurait put être magnifique, sans cette affaire. Avant que l'homme ne puisse en faire d'avantage, elle sentit comme une boule se former au fond de son ventre. Un cri venait de retentir. Inconsciemment, elle venait de faire imploser un organe de son agresseur. Celui-ci n'eut le temps que de retirer l'excédant de chair dont il se ventait avant de s'étaler sur le sol.
Alice ne savait pas comment, ni ce qu'elle avait fait, mais elle l'avait fait. Pas question de rester là non plus. Et, au moment où elle voulu partir, une autre bizarrerie du genre bien utile se produit. Des ailes, un bec, des plumes de couleur charbon. La jeune femme venait réellement de se transformer en corbeau. En oiseau. Elle eut d'abord peur, puis, sans vraiment comprendre ce qu'il lui arrivait, elle sortit à tire... d'ailes, de là, laissant ses deux amies. Tous furent surpris de voir sortir un oiseau noir de cet endroit, mais personne ne s'en préoccupa. La seule chose qu'ils trouvèrent, furent un corps sans vie, mais sans traces. C'est ainsi qu'elle débarqua à vol d'oiseau, à Internat Animalik.
Dernière édition par Alice Miller le Sam 22 Fév 2014 - 13:41, édité 5 fois |
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