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| Sujet: Merry Savage ♦ "Maybe I started this fire." Sam 19 Oct 2013 - 23:39 | | « Je voit trop bien. J'aimerais devenir aveugle. Je veut devenir aveugle. » « EXPLOSION » ♦♦ NOM :: Savage ♦♦ PRÉNOM :: Merry ♦♦ SURNOM :: ~ ♦♦ AGE :: 20 ans ♦♦ SEXE :: Femme ♦♦ CLASSE / PROFESSION :: Intervenante sociale ♦♦ RACE :: Harpie ♦♦ POUVOIR :: La jeune femme peut voir les événements passés relié à un objet -organique où inorganique- en le touchant.
« BEHIND THE SCENE » ♦♦ PRENOM :: Sabrina o/ ♦♦ PRÉNOM / SURNOM :: Sab' .w. ♦♦ AGE :: 14 ans et aucunes dents. ♦♦ OU AS-TU CONNU LE FOW ? :: DC woot woot ♦♦ DES COMMENTAIRES ? :: J'AIME LE MONDE. ♦♦ CODES DES RÈGLEMENTS :: J'aime les licornes et leurs jolies cornes -sérieux wtf- ♦♦ FEAT :: Billie Piper
« YOU KNOW WHO I AM » Merry ne porte pas bien son nom de "Sauvage". Elle n'est pas sauvage. Pas tant qu'on ne la cherche pas, ceci étant dit. Quand elle s'énerve elle porte bien son nom. Mais tout le monde est comme cela, quand on est énervé, on ne pense pas. Mais le truc c'est que Merry ne s'énerve presque jamais. C'est horrible, vous aurez beau la traiter de nom, elle va toujours continuer de sourire et de répondre calmement. Douce comme un agneau, la jeune adulte. Les gens qui sourissent le plus sont souvent ceux qui ont le plus de problèmes. Où un passé difficile. Où un pouvoir trop lourd à porter. Merry n'aime pas son pouvoir. Si elle aurait pût s'en débarrasser, elle n'aurait pas hésiter une seule seconde. Voir le passé des choses en les touchant, c'est...un grand pouvoir. Pas si grand, mais mentalement, peut de personne aurait été capable de tenir pendant toutes ces vingts ans. Merry l'a fait. Mais Merry est épuisée, aussi jeune soit-elle. On peut toujours lire dans son visage cette petite flamme qui s'illumine. Cette flamme si magnifique, si...intense? Merry a beau être épuisée, elle ne peut pas se rabattre sur son sort. C'est vrai, il y a des gens qui ont eut pire comme pouvoir. Elle préfère rester joyeuse pour rendre les gens qui ne le sont pas. Son sourire en vaut mille et son cœur aussi. C'est une jeune femme très déterminée à continuer à vivre, même si pour elle il n'y a aucun défis car elle a tout vu. Elle est très amicale et n'hésite pas à aborder les gens qui ont une mauvaise mine avec l'espoir d'illuminer leur journée. Rallumer cette flamme dans leurs yeux. C'est elle qui a commencé ce feu.
« YOU KNOW HOW I AM » De longs cheveux ébouriffés de couleurs blés tombant brutalement sur ces cheveux. Des yeux d'une couleur auburn d'une beauté exceptionnelle, entourée d'un brut noir. Des sourcils présent mais non trop voyant. Un sourire angélique qui adoucit son visage et ses formes au apparence trompeuse. Sous ces airs de jeune dévergondée se cache tout le contraire. Elle est l'essence même du proverbe qui dit qu'il ne faut pas se fier aux apparences. Une démarche décontractée, elle baisse toujours sa garde. Elle ne craint pas vraiment les élèves, alors pourquoi devrait-elle être tendue, après tout? Elle est comme un feu de cheminée : doux, réconfortant mais dont on doute l'efficacité à la fois. Dans sa tonne de cheveux on y trouve une légère plaque de métal qu'elle a ramassé pour ces dix-huit ans, depuis elle l'a toujours dans ses cheveux.
Quand elle prend son apparence animale, on peut découvrir un joli harfang des neiges, blanc comme neige. Tout le contraire, une fois de plus, de son apparence humaine. Étrange, non? Les apparences sont trompeuses. De ces deux apparences, laquelle est la réelle? La lune où le soleil? La neige où la chaleur? Tout cela reste à voir. Réussirez vous à résolvez cette énigme sur deux pattes?
« YOU KNOW MY STORY » La première fois qu'elle a touchée sa mère elle savait que "mère" n'était pas si mère que ça. Elle n'avait point accouchée de Merry. Merry le savait, mais elle ne voulait accepter cette vérité. Pour elle, maman, c'était maman et personne d'autre. Dans la vie des gens normaux, il y a souvent un père. Merry, elle n'en a jamais eut. Elle ne sait pas c'est qui, mais elle s'en fiche. Elle était heureuse avec cette mère qui n'était pas la vraie. Mais c'était mieux comme ça. Si sa mère l'avait laissée, c'était parce qu'elle ne l'avait pas désirée.
Malgré son défaut qui était son habilité à se transformer en animal, sa mère était dingue de sa fille. Ces jolis cheveux blés et son regard intelligent. Qui pouvait ne pas l'aimer, après tout? Les premiers jours d'école, Merry s'était fait des amies, mais tout a très vite dégénérée et il faut dire que lorsqu'on dit à une jeune fille qu'elle fait toujours dans le lit alors qu'on ne la connait que depuis trois minutes, c'est étrange. Plus personne ne la touchait, plus personne ne lui parlait. Même l'enseignante la craignait. Quelle étrange créature inhumaine elle était! Malgré tout, elle n'était pas si différent des humains : elle avait une peau, des cheveux, des os, un coeur et des émotions. Lorsqu'on craint une personne, on a souvent pour habitude de retirer toutes ces choses les reliant aux humains car on craint de finir comme elle. Les gens, en elle, ne voyait qu'un monstre. Monstre. Ce nom est restée dans sa vie tout le long de son enfance, de son adolescence, jusqu'à ce qu'elle finisse par prendre la poudre d'escampette. Elle devait partir. Désolée, maman.
Elle traversait le canyon, essoufflée, la sueur coulant le long de son visage. Elle avait courut pendant des kilomètres, cette vie nomade qu'elle vivait depuis désormais plusieurs années, s'arrêtant parfois dans des maisons de campagnards, leur demandant si elle pouvait rester quelques jours chez eux en échange de travail dans leur champ, ferme, et autres. Mais cette fois-ci, quelqu'un, une silhouette floue se présentait devant elle, elle ne savait pas de qui il s'agissait, mais elle se laissa tomber sur le sol, le soleil plombait, elle n'était plus capable de marcher, pas pour l'instant. Juste. Finir. Rentrer? Non, elle ne pouvait pas rentrer. On ne l'aimait pas. La personne s'approcha, et la toucha. Merry avait put voir, mais elle tout était flou, lorsqu'elle est au bout de ses forces, sa vue devient comme un mirage. Elle ferma les yeux, laissant couler une larme.
Internat Animalik. Une maison? Sûrement. Mais combien de temps allait-elle pouvoir rester sans qu'on finisse par la rejeter? Elle avait beau être animalik, elle était différente. Cacher cette différence sous un sourire. Ce sourire finit par devenir vrai. Home.
Dernière édition par Merry Savage le Ven 15 Nov 2013 - 23:49, édité 5 fois |
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